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Patrice PINSON, nouveau Président de la FPI Bretagne [Nomination]

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« Bien sûr, cette profession particulièrement méconnue, ne constitue qu’un des maillons de la chaîne de production du logement, mais de sa vitalité dépend un grand nombre d’emplois non dé localisables et la satisfaction de besoins qui ne se démentent pas, surtout dans notre région très attractive. En Bretagne, nous avons la chance de disposer d’un écosystème particulièrement riche de structures très diverses : du promoteur indépendant réalisant deux programmes par an, à l’opérateur régional ou national, les 30 entreprises adhérentes de la FPI Bretagne illustrent cette vari été. Partenaires des collectivités locales, nous entendons apporter notre pierre aux réflexions engagées un peu partout pour concevoir ou adapter les Plan s Locaux de l’Habitat (P.L.H.). En cette période où nous avons besoin de clairvoyance, l’expérience e t l’analyse de la FPI Bretagne sont précieuses »

Il succède à Véronique Bléas – Moncorps, et il entend défendre les intérêts des promoteurs bretons.

Cet ingénieur de 44 ans ayant intégré les rangs du Groupe ARC en 2003 a été élu le 12 décembre 2014 par ses paires à la tête de la Fédération des Promoteurs Immobiliers de Bretagne.

>Source : www.fpifrance.fr

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Observatoire de la FPI : Les chiffres du logement neuf 1er semestre 2014

fpiAu 2ème trimestre 2014, l’Observatoire de l’immobilier de la FPI enregistre à nouveau un recul substantiel de ses indicateurs avancés : les ventes au détail de logements neufs (19 133 unités) sont en retrait de -8,9% et les mises en ventes (23 635 lancements) de -19,3% par rapport à la même période de 2013. Dans ces conditions, le 1er semestre 2014 s’achève sur un recul de -2,3% des ventes et de -15,5% des mises en vente. Le frémissement de la demande sur le début de l’année (+6% des ventes au 1er trimestre) aura été sans lendemain et l’inexorable chute des mises en vente depuis 2011 plonge le marché dans une situation extraordinairement préoccupante. Dans ce contexte, le plan de relance annoncé par le Gouvernement prend tout son sens. Afin de relancer, dès 2015, la construction et l’économie, il doit être amplifié et mis en œuvre sans délai.

Points clefs

  • Chute de l’accession à la propriété : malgré des conditions de financement toujours plus favorables, l’accession enregistre un nouveau recul de -12% au 2ème trimestre. Amorcé depuis le début de l’année, le recul des ventes en accession atteint -7,8% par rapport au 1er semestre 2013.
  • La part des investisseurs représente 40% des ventes du semestre. Le taux d’augmentation de 7,4% par rapport au 1er semestre 2013 apparaît toutefois en trompe l’oeil. Le début d’année 2013 avait en effet été marqué par le passage à vide consécutif au changement de régime fiscal du Scellier au Duflot. Bien que l’encadrement des loyers constitue un facteur bloquant pour les investisseurs, la stabilisation du dispositif depuis fin 2013 a permis d’enrayer la chute du volume des investissements, sans pour autant le relancer vraiment.
  • Les mises en vente continuent de plonger : avec 43 307 nouveaux logements lancés sur le marché depuis le début de l’année, l’offre nouvelle est en retrait de -15,5% par rapport au 1er semestre de 2013.
    Les autorisations de construire connaissent un ralentissement équivalent.
  • L’offre commerciale est stable avec 89 663 logements disponibles à fin juin 2013, soit 14,6 mois de ventes. Le stock achevé représente 8% environ de l’offre, soit à peine un mois de commercialisation.
    Plus de 45% de l’offre est constituée de logements non commencés et susceptibles de ne jamais l’être si au moins 50% du programme n’est pas pré-commercialisé.
  • Les prix continuent à être stables depuis mi-2012, traduisant tant la rareté de l’offre disponible que l’incompressibilité des coûts de production.

Analyse

Alors que l’on estime à 0,4 point de PIB (Produit intérieur brut) le coût de la dégradation de la construction sur la croissance française, les pouvoirs publics semblent enfin prendre conscience de l’enjeu : après les premières annonces faites avant l’été par le Premier Ministre et la Ministre du Logement et de l’Égalité des Territoires (premières mesures d’allègement des normes, limitation prévue du nombre de parkings par logement dans le projet de loi Simplification, relance de l’accession en zones moyennement tendues, nouveau zonage, allongement possible de la durée de 9 à 12 ans et de l’avantage fiscal de 18% à 21% pour l’investissement locatif), le Gouvernement s’apprête à prendre de nouvelles mesures, notamment pour relancer l’investissement locatif (possibilité de louer aux ascendants/descendants) et débloquer beaucoup plus de terrains constructibles.
Pour le Président de la FPI, François Payelle, « les mesures annoncées par le Gouvernement vont dans la bonne direction. Les pouvoirs publics ont enfin pris conscience de l’ampleur de la crise qui frappe le secteur et menace gravement ses entreprises et l’emploi. Néanmoins, il faut aller beaucoup plus loin et beaucoup plus vite ».

>En savoir plus : Consulter la note en PDF

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>Source : www.fpifrance.fr

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