Archives Mensuelles: avril 2020
Reprise progressive des chantiers de Rabot Dutilleul Construction @rabotdutilleul #BTP
Source : RABOT DUTILLEUL
RABOT DUTILLEUL CONSTRUCTION SE MOBILISE POUR FAIRE FACE A LA CRISE SANITAIRE ET ASSURER UNE REPRISE PROGRESSIVE DE SES CHANTIERS
Dans ce contexte de crise sanitaire sans précédent qui impacte l’ensemble du secteur du BTP, Rabot Dutilleul Construction se mobilise et annonce une reprise progressive de ses chantiers à compter de ce mardi 14 avril 2020, dans un strict respect des recommandations sanitaires. Une décision qui a pour objectif de soutenir l’activité de l’entreprise en cette période difficile. La nouvelle gouvernance de l’entreprise, qui prendra ses fonctions à compter du 17 avril aura également à coeur de relever les défis d’aujourd’hui et répondre aux enjeux de demain.
Redémarrer rapidement au moins un chantier par Région d’implantation
C’est l’objectif que s’est fixé Rabot Dutilleul Construction pour cette reprise progressive de l’activité. Sont ainsi concernés les chantiers des Grands Moulins de Paris et de Jean Macé dans les Hauts-de-France ; la réhabilitation en logements des anciens hôpitaux Villemin Maringer Fournier à Nancy, le CROUS de Strasbourg, un EHPAD et un service de soins à domicile à Moyenmoutier (88) dans le Grand Est ; ainsi qu’un chantier de logements à Massy en
Ile-de-France. L’Ile-de-France où Rabot Dutilleul Construction a par ailleurs assuré vendredi dernier la livraison du nouveau plateau médico-chirurgical de l’hôpital Henri Mondor qui compte notamment un service de réanimation d’une capacité de 55 chambres, ainsi qu’un service dédié aux soins critiques avec 30 chambres de surveillance continue.
« Je tiens ici à saluer l’engagement de l’équipe du chantier de l’hôpital Henri Mondor qui a montré un grand professionnalisme et a travaillé 7j/7 pour pouvoir mettre à disposition des chambres pour les patients atteints de Covid-19», déclare Frank Fessenmayer, Directeur régional de Rabot Dutilleul Construction en Ile-de-France.
Guide de l’Accession 2020 / 2021 @lesCoopHlm
Source : les Coop’ HLM
Destiné aux futurs accédants, ce guide de l’accession présente l’ensemble des formules existantes pour définir, financer et réaliser leur projet immobilier.
Toutes les étapes pour définir et préparer un projet immobilier avec Les Coop’HLM
Ce guide d’une trentaine de pages, a pour objectif de faire découvrir aux futurs accédants toutes les formules et options possibles pour définir leur projet immobilier et devenir propriétaire. Ce guide est également une source d’information sur tous les modes de financement et dispositif d’accession, selon leurs ressources, leurs critères, et les réglementations actuelles.
Des conseils, des témoignages, feront aussi office d’aide à la décision, tout comme les avantages à être propriétaire avec une Coop’Hlm : un logement neuf à haute performance environnementale, certifié par un label indépendant, une accession sécurisée, une gestion de syndic solidaire…
L’objectif de cet ouvrage, destiné aux futurs accédants, est de présenter l’ensemble des formules existantes autour de leur projet immobilier en vue de devenir propriétaire ( prêts, financement, VEFA, location-accession, bail réel solidaire…)
Les métropoles ont aussi une forte capacité à absorber les chocs @linstitutPR
Source : institutparisregion.fr

Vulnérables parce que denses et complexes, les métropoles sont toujours les premières touchées par les catastrophes, qu’elles soient naturelles, technologiques, politiques ou, comme aujourd’hui, sanitaires. Mais les métropoles ont aussi une forte capacité à absorber les chocs, née des leçons qu’elles ont su tirer des catastrophes passées. C’est pourquoi la crise que nous vivons doit nous apprendre, une fois de plus, à nous adapter pour mieux rebondir.
Les grandes métropoles sont particulièrement vulnérables aux catastrophes. Leur taille, leur densité, leur complexité sont des facteurs de meilleure réussite économique, sociale et culturelle en temps normal. Elles deviennent facteurs de vulnérabilité en cas d’événement catastrophique, qu’il s’agisse de catastrophes naturelles (inondations, tempêtes, séismes, canicules, incendies), technologiques (explosions, fuites de produits toxiques), sanitaires (pandémies) ou politiques (émeutes, guerres).
La concentration de personnes et de biens entraîne des dégâts nettement plus importants comme ceux observés lors de séismes, typhons ou actes de guerre. Même des dégâts subis à l’échelle locale peuvent retentir sur des milliers de personnes lorsqu’ils touchent des maillons d’un système complexe : éboulement sur un rail, carrefour obstrué, transformateur hors service, réservoir d’eau souillé…
C’est pour parer cette vulnérabilité qu’en règle générale (hors cas où les autorités évacuent ou ordonnent d’évacuer les lieux), la première réaction des ménages face à une catastrophe est le rétrécissement de l’espace vital de chacun, ce qui dans une grande métropole relève de mesures ou de comportements « anti-urbains » :
- repli sur le domicile et son entourage immédiat, confinement,
- réduction des déplacements,
- recherche d’autonomie : constitution de réserves alimentaires, énergétiques, eau,
- fuite, pour certains qui en ont les moyens ou ceux qui ont d’autres attaches territoriales, vers des ensembles humains moins peuplés (villages, villes secondaires),
- ancrage, pour d’autres, dans leur environnement proche qui les sécurise car doté des services – y compris de santé – et des appuis humains (proches, amis) dont ils ont besoin.
Pour l’essentiel, il s’agit de se protéger et de limiter sa dépendance à autrui, sauf si on en a besoin.
L’assurance de maîtriser le cours des choses avec une large part d’autonomie est aussi recherchée au niveau de la gouvernance qui se met en place pour gérer l’arrivée de la crise : une plus grande marge d’initiative est donnée au local, ou prise par lui, car c’est à ce niveau que l’information est la plus fiable, que les réponses peuvent être les plus adaptées. L’action en réseau d’acteurs locaux et centraux ayant tous une large liberté de mouvement semble être plus efficiente en temps de crise.
Enquête flash : Le logement accompagné face à la crise sanitaire liée au COVID-19 @UnafoUnion
Source : UNAFO

L’Unafo a mené – du 21 au 23 mars 2020 – une enquête flash auprès de ses 140 adhérents, gestionnaires de logement accompagné (résidences sociales, pensions de famille, logements jeunes…). Ils ont été 50 à répondre très rapidement malgré la période. Elle en présente ici les principaux enseignements.
Quelques chiffres clés
– 16 % des répondants signalent des personnes infectées parmi leurs résidants et 19 % parmi leurs salariés ;
– Majoritairement ont été maintenues les activités liées à l’accompagnement des personnes, au nettoyage des parties communes, à la sécurité. Si les activités communes ont été arrêtées à l’unanimité, les 2/3 des adhérents ont également arrêté l’entrée de nouveaux résidants. L’accueil physique est maintenu dans 46 % des cas ;
– Si les adhérents ont majoritairement pu équiper leurs salariés de gants (75 %) et de gel (67 %), en revanche la situation est très différente pour les masques : seulement 40 % des adhérents, bien qu’ils accompagnent souvent des publics à risques, ont pu équiper leurs salariés de masques ;
– Plus de la moitié des répondants (51 %) doit faire face à un absentéisme inhabituel, principalement en raison des difficultés liées au garde d’enfants, mais la plupart du temps toutes les causes s’additionnent ;
– Près des 2/3 des adhérents répondent avoir recours ou pensent recourir à une activité partielle.
Aperçu des principales difficultés rencontrées
L’enquête menée auprès des adhérents de l’Unafo montre des difficultés de plusieurs ordres :
– Une incertitude pour les résidants quant à leur situation financière, notamment en raison de l’activité partielle ou de l’arrêt total d’activité, notamment pour les intérimaires. Les difficultés rencontrées sont liées à l’arrêt de l’activité pour un grand nombre d’entre eux et un manque d’information sur les conséquences liées à leur emploi (salaire fin mars, salaire fin avril), une impossibilité pour nombre d’entre eux de se tourner vers les administrations ad-hoc en capacité de les accompagner dans ce cadre (Missions Locales, Pôle Emploi, CCAS …) et l’arrêt des aides d’urgence en cours de réorganisation (aide alimentaire, fonds d’aide aux jeunes) ;
L’ADEME apporte son soutien aux entreprises pour faire face aux conséquences économiques liées à l’état d’urgence sanitaire @ademe
Source : ADEME

Face à une crise sanitaire d’envergure inédite, doublée de conséquences économiques qui s’annoncent très lourdes, l’ADEME se met en ordre de bataille pour amortir ces conséquences au maximum de ses possibilités. L’Agence prend ainsi une série de trois mesures pour soutenir l’ensemble des entreprises engagées dans la transition écologique.
Ces mesures sont applicables automatiquement pour les nouvelles aides et achats et sur demande pour les projets en cours.
Une avance de 20% sur les aides aux entreprises et aux associations
Cette avance vise à répondre aux besoins de trésorerie des petites ou moyennes entreprises, des associations, particulièrement impactées par la crise, et faire face aux premières dépenses des projets engagés. Le taux est fixé à 20% du montant de l’aide totale accordée. Cette avance est accordée pour la durée de l’opération et récupérée sur le dernier versement…