Archives du 21 Mai 2011

Usine d’incinération de Briec : ça chauffe sous les serres !

Depuis novembre, les serres de trois producteurs de tomates sont chauffées grâce à l’usine d’incinération de Briec.

Cette usine reçoit et incinère les déchets de Quimper Communauté et des communautés de communes de Châteaulin, de Crozon et du Pays Glazik : 50 000 tonnes par an (21 000 tonnes pour Quimper Communauté) dont la combustion dégage une importante chaleur. Jusqu’à présent, cette chaleur était transformée en production électrique (17 0000 Mwh/an, l’équivalent de la consommation de 4 000 foyers), mais il restait une certaine quantité d’énergie dégagée non-valorisée.

Désormais, ce n’est plus le cas : elle est utilisée pour chauffer cinq hectares de serres qui se sont installées à 350 mètres.

Cette source de chaleur, moins coûteuse et plus respectueuse de l’environnement, a convaincu les serristes de s’implanter près de l’usine. 50 emplois ont ainsi été créés.

Lien vers le site de QUIMPER COMMUNAUTE

5 mutuelles créent l’Union Mutualiste de Groupe Istya

Le groupe MGEN, le groupe MNH, la MNT, la MGET et la MAEE se sont réunis en assemblée générale pour constituer le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire en santé, prévoyance, dépendance et retraite.

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Note S&P à long terme de la région Limousin « AA/stable »

Note S&P à long terme de la région Limousin  « AA/stable » attribuée le 2 mai 2011

La notation « AA » reflète la capacité très forte de la Région à honorer ses engagements financiers. Selon notre scénario central, la Région Limousin devrait maintenir une dette inférieure à 6 ans d’épargne brute et à 90 % des recettes de fonctionnement d’ici à 2014.

La perspective stable associée à la note à long terme reflète notre anticipation selon laquelle la Région sera capable de contenir la détérioration de ses performances budgétaires grâce à une bonne maîtrise des dépenses de gestion. Nous estimons dans notre scénario central que la collectivité est en mesure de maintenir un taux d’épargne brute autour de 15% et une dette inférieure à 6 années au cours des deux prochaines années.

Principales forces:

  • la forte capacité de la Région à maîtriser et ajuster ses dépenses, notamment ses investissements
  • un niveau de marge brute élevé en comparaison internationale
  • un endettement relativement modéré
  • un niveau limité d’engagements hors bilan : les satellites de la Région ne présentent pas de risques significatifs au regard de la taille du budget régional

Principales contraintes :

  • un faible dynamisme attendu des recettes de fonctionnement, accentué par la suppression de la taxe professionnelle et des taxes foncières
  • une légère détérioration attendue du niveau de marge brute 

Rapport 2011 de l’Hospitalisation Privée

Rapport 2011 de l’hospitalisation privée

Une étude qui bouscule les idées reçues

 

Paris, le 27 avril 2011 –Pour délivrer une information objective et transparente, la Fédération de l’Hospitalisation Privée a confié à un cabinet indépendant, le groupe Montaigne, son second rapport sectoriel. Un « pavé » dans le débat sur le système de soins français, qui démontre le rôle majeur de l’hospitalisation privée. Battant en brèche les idées reçues, il mesure concrètement l’accessibilité, la forte technicité et la qualité des Cliniques Hôpitaux Privés. Pour en juger, cette édition 2011 est aussi enrichie de deux focus : l’un sur la prise en charge du cancer dans les établissements privés, l’autre sur le maillage territorial de l’offre de soins privée. 

25% des patients hospitalisés relèvent de la CMU1

L’hospitalisation privée accueille les patients, sans distinction sociale ni financière. 25% des patients hospitalisés relevant de la Couverture Maladie Universelle ont ainsi été accueillis en 2009 dans les 1123 cliniques et hôpitaux privés. Au service de l’accueil de tous, les 130 services d’urgences privés ont accueillis 14% de patients en plus par rapport à 2007.

43% des séjours en chirurgie carcinologique

Ce rapport sectoriel montre aussi combien l’hospitalisation privée française prend en charge des pathologies lourdes. Dotée de plateaux techniques de pointe, elle a par exemple pris en charge, en 2009, 43% des séjours en chirurgie carcinologique (voire près de 60% dans certaines régions) et elle compte 43% des  lits de « soins critiques »  (réanimation, soins intensifs, surveillance continue).

50% des prises en charge ambulatoires MCO et SSR

Par ailleurs, les cliniques hôpitaux privés ont assuré en 2009, 50% des prises en charge ambulatoires en SSR et MCO dont plus de 67% de l’activité de chirurgie ambulatoire, contribuant, à travers cette solution d’avenir, à mieux répondre aux souhaits des patients, et à concrétiser les orientations des pouvoirs publics. 

Des missions de service public

« Ce rapport objective le rôle majeur de l’hospitalisation privée. Le débat ne porte clairement plus sur la place du secteur privé dans notre système hospitalier. Dans ce cadre, les Cliniques Hôpitaux Privés souhaitent fortement développer leur contribution aux missions de service public définies par la loi Hôpital Patient Santé Territoire, comme la permanence des soins ou l’accueil des médecins en formation », insiste Jean-Loup Durousset, président de la FHP.

Des motifs d’inquiétude 

Avec 140.000 collaborateurs et 41.500 praticiens, les cliniques et hôpitaux privés sont des employeurs importants. Dans ce contexte, le renouvellement des effectifs médicaux demeure préoccupant. Même si conjoncturellement les effectifs médicaux ont augmenté de 2,7% en 2009, le secteur hospitalier privé fait face à la dégradation de sa pyramide des âges. S’agissant des effectifs soignants, les recrutements sont perturbés par les tensions permanentes sur le marché de l’emploi en raison d’une politique de quota trop restrictive.

« Au-delà de cette reprise passagère, l’hospitalisation privée s’inquiète de la diminution massive et annoncée du nombre de médecins en exercice jusqu’en 2020-2025, et de la pénurie latente de professionnels soignants comme les infirmières, aides-soignantes et kinésithérapeutes. Il est urgent de revoir l’ensemble de notre système de formation, trop rigide et de fait en échec », interpelle Jean-Loup Durousset.

Pour commander le rapport

@Source: FHF

Les Lauréats du Prix CNSA Lieux de Vie Collectifs & Autonomie 2011

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