Le prix de l’immobilier baisse dans plus de la moitié des grandes villes @Seloger
Des prix des logements qui n’en finissent pas de ralentir, voire qui reculent ! Des marges de négociation sur le prix des maisons ou des appartements qui perdent du terrain. Découvrez quelle est la tendance du marché immobilier français en cette rentrée 2018.
Le prix de l’immobilier baisse dans plus de la moitié des grandes villes
Sur le trimestre, les chiffres que compile – inlassablement – le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent que plus de 50 % des villes françaises de plus de 100 000 habitants affichent un recul du prix de leurs appartements dans l’ancien. Mais si ce phénomène, comme le souligne Michel Mouillart, porte-parole du baromètre LPI-SeLoger, n’est que saisonnier – et donc passager – à Saint-Étienne (- 0,4 % sur les trois derniers mois) ou à Bordeaux (- 1,8 %), il est, en revanche, persistant dans des villes comme Nice (- 1,1 %), Grenoble (- 0,7 %) ou encore Toulon (- 1,9 %). À l’année, la hausse – rapide – des prix immobiliers anciens accélère encore à Angers (+ 12 %), à Limoges (+ 7,8 %), à Orléans (+ 9 %) et à Lille (+ 5,8 %). Comme le fait remarquer Michel Mouillart, cette hausse est d’autant plus intéressante qu’elle succède à une « période d’hésitation, voire de baisse des prix ». Enfin, force est de constater que l’impact de la suppression de certaines aides financières se fait cruellement ressentir à Béziers (- 1,1 %), à Brest (- 3,9 %), à Dunkerque (- 3,8 %) ou encore à Cherbourg (- 6,3 %) : trois villes ayant pour dénominateur commun un prix de l’immobilier certes peu élevé (moins de 1 700 € du m²) mais aussi une « demande budgétairement fragile »…
Publié le 3 septembre 2018, dans Actualités, Immobilier, logement, et tagué immobilier, logement. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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