Archives du 7 octobre 2013
Lauréat 2013 du Grand Prix Médicis des micro-entreprises
Le 1er octobre 2013, Médicis a décerné le 10ème Grand prix Médicis des micro-entreprises à la société Centimeo, une jeune entreprise créée en 2011.
Benjamin DUPRAYS, son dirigeant âgé 22 ans, a eu la bonne idée de constater que les pièces de 1, 2 et 5 centimes d’euros étaient inutilisées « je trouvais particulièrement frappant que l’on mette à notre disposition un moyen de paiement que nous ne pouvions pas utiliser, à tel point que, dans la rue, les passants ne se baissaient même pas pour ramasser une pièce de toute petite valeur. J’ai donc créé CENTIMEO parce que je voyais là un problème à résoudre, et une grande opportunité »
CENTIMEO propose aux consommateurs d’utiliser leurs pièces de 1, 2 et 5 centimes d’euros en distribuant des produits de grande consommation à l’unité (chewing‐gum, gel antibactérien), dans des distributeurs automatiques autonomes et adaptables, « Notre but est de créer de la valeur et des emplois à partir de cette ressource qui est aujourd’hui gaspillée et coûte chaque année à la société des millions d’euros, et à l’environnement des milliers de tonnes d’acier » explique Benjamin Duprays
C’est la 10ème année consécutive que Médicis parraine ce prix destiné à des créateurs d’entreprises innovants et plein d’avenir avec une dotation financière de 7 500 euros et une campagne de radio d’une valeur de 30 000 € sur les antennes du groupe NRJ.
S&P confirme la note ‘AA+’ de la Région Ile-de-France.
S&P confirme la note ‘AA+’ de la Région Ile-de-France. La perspective reste négative.
PARIS, le 4 octobre 2013. Standard & Poor’s confirme les notes de référence à long terme ‘AA+’ et à court terme ‘A-1+ de la Région Ile-de-France. La perspective reste négative. Standard & Poor’s confirme également la note ‘AA+’ du programme EMTN d’un montant de 5 milliards d’euros et la note ‘A-1+’ du programme de billets de trésorerie de 1 milliard d’euros.
Les notes de l’Ile-de-France reflètent le cadre institutionnel « prévisible et équilibré » des régions françaises, la gouvernance et la gestion financières « très positives » de la Région, sa situation de liquidité « très positive » et ses engagements hors-bilan très faibles. Les notes tiennent également compte de l’économie francilienne riche dans un contexte international, le PIB par habitant dépassant 51 000 euros en 2011, le tissu économique régional étant diversifié et le niveau d’infrastructure très élevé. Toutefois, les notes sont contraintes par les marges de manœuvre limitées sur les recettes de fonctionnement et par notre anticipation d’une augmentation de la dette, sous l’effet debesoins de financement après investissements assez importants d’ici 2015.
Standard & Poor’s considère que la gouvernance et la gestion financières de la Région ont un impact « très positif » sur les notes, grâce à des objectifs budgétaires clairs, à une gestion de la dette et de la trésorerie prudente et optimisée, à une planification financière réaliste et à une forte transparence financière. Nous considérons également que les risques hors-bilan de la Région sont limités. A l’image de la majorité des régions françaises, nous estimons que l’Ile-de-France n’a qu’une faible flexibilité sur ses revenus (les recettes modifiables ne représentant que 10% de ses produits de fonctionnement en 2012), mais qu’elle dispose, en cas de besoin, d’une forte capacité à réduire ses dépenses d’investissement, qui représentaient 38% des dépenses totales (hors emprunts) en 2012.
En 2012, la Région a maintenu un taux d’épargne brute élevé, à 22%, en baisse par rapport à 2011 (24%) et en léger retrait de l’anticipation de notre scénario central de 2012 (22,5%). Ceci a tenu à la quasi-stagnation des recettes de fonctionnement (0,3%), sous l’effet d’une stabilité des dotations de l’Etat, d’une très faible croissance des recettes fiscales et de certains éléments exceptionnels, contre une croissance de 3,7% des dépenses de fonctionnement. Sous l’effet de dépenses d’investissement toujours élevées (1,65 milliard d’euros), le déficit de financement après investissements a atteint 10% des recettes totales en 2012.
Dans notre scénario central, nous anticipons le maintien d’un taux d’épargne brute élevé à 20% des recettes de fonctionnement en moyenne entre 2013 et 2015, en dépit de la faible croissance anticipée des recettes de fonctionnement (1,1% en moyenne) sous l’effet de la baisse des dotations de l’Etat en 2014 et 2015 et de recettes fiscales peu dynamiques. Notre scénario central anticipe un contrôle renforcé de la croissance des dépenses de fonctionnement, à 2,2% en moyenne entre 2013 et 2015, malgré l’augmentation attendue de la contribution régionale…Télécharger le Communiqué de presse S&P Région Ile-de-France