Archives du 2 Mai 2011

Terra in Design

Terra in Design est le 1er réseau d’agences de conseil en division parcellaire.

Aujourd’hui implanté à Paris, Lyon et Rouen, notre réseau vous propose un service de conseil en division dans les plus grandes agglomérations françaises, en partenariat avec les agences immobilières, les notaires, les géomètres, et les services d’urbanisme des villes.

BIMBY

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Le projet de recherche BIMBY (« Build in My Back Yard ») vise à la définition, à court terme, d’une nouvelle filière de production de la ville, qui soit capable d’intervenir là où les filières « classiques » sont incapables d’intervenir : au sein des tissus pavillonnaires existants, qui représentent la grande majorité des surfaces urbanisées en France et certainement en Europe.

Île-de-France: objectif de 500.000 logements chauffés par géothermie d’ici 2020

La région Ile-de-France s'est fixé comme objectif de chauffer 500.000 logements par géothermie d'ici 2020, a annoncé mardi le ministère de l'Ecologie lors d'une conférence de presse.

La région Ile-de-France s'est fixé comme objectif de chauffer 500.000 logements par géothermie d'ici 2020, a annoncé mardi le ministère de l'Ecologie lors d'une conférence de presse.

AFP – La région Ile-de-France s’est fixé comme objectif de chauffer 500.000 logements par géothermie d’ici 2020, a annoncé mardi le ministère de l’Ecologie lors d’une conférence de presse.

« Notre objectif est de multiplier par quatre le nombre de logements équipés en géothermie. Il en existe 150.000 en Ile-de-France. Si nous continuons sur notre lancée, on pourrait dépasser l’objectif et atteindre 180.000 logements en 2013, puis 500.000 d’ici 2020 », a estimé Gwenael Guyonvarch, directeur régional de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).

La géothermie est la technique d’exploitation des réservoirs d’eau chaude en sous-sol, qui peuvent être mobilisés pour le chauffage, évitant ainsi d’avoir recours aux énergies fossiles.

« A l’heure où les prix des énergies fossiles et de l’électricité augmentent, (…) la géothermie représente une véritable opportunité pour tous les Franciliens », a souligné Bernard Doroszczuk, directeur régional de l’environnement et de l’énergie d’Ile-de-France.

Les projets géothermiques se sont multipliés dans le bassin parisien: plus de 70 projets soutenus au cours de l’année 2010, contre une vingtaine seulement en 2009, selon les chiffres de l’Ademe.

« 12 millions d’euros ont été investis dans des opérations en géothermie en Ile-de-France en 2010, et la même somme devrait être dépensée en 2011 », a indiqué M. Guyonvarch.

Ce budget provient du « fonds chaleur », une enveloppe d’un milliard d’euros confiée à l’Ademe en 2009 par le Grenelle de l’Environnement pour développer sur trois ans (2009-2011) la production de chaleur à partir des énergies renouvelables.

Le Grenelle de l’environnement impose que 23% de l’énergie produite en France en 2020 soit renouvelable.

Et si l’Ile-de-France mise spécialement sur la géothermie, c’est parce que la région est particulièrement favorisée dans ce domaine.

Le sous-sol francilien se prête bien à la géothermie profonde, ce qui a permis son développement dès les années 1970.

« C’est une source d’énergie renouvelable parfaitement adaptée à la situation francilienne, vu la ressource (en eaux chaudes souterraines) et la densité urbaine en surface », a précisé M. Doroszczuk, de la DRIEE.

Environ 1% des bâtiments franciliens sont chauffés par géothermie.

La fibre optique sera déployée dans plus de 3 400 communes d’ici à cinq ans

Bruno Le Maire, ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire, Eric Besson, ministre chargé de l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie numérique, auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, et René Ricol, commissaire général à l’Investissement, ont dévoilé aujourd’hui la carte du déploiement de la fibre optique par les opérateurs privés sur les dix prochaines années et ont présenté les modalités de mise en oeuvre du programme national « très haut débit », lancé par le Premier ministre le 14 juin 2010.

Sollicités par le Gouvernement, les opérateurs ont fait part de leur intention d’engager, d’ici à cinq ans, des déploiements sur plus de 3 400 communes regroupant, avec les 148 communes constituant les zones très denses, près de 57 % des ménages français. Les opérateurs ont l’intention d’équiper intégralement ces communes en fibre optique au cours des 10 prochaines années.

Bruno Le Maire et Eric Besson ont présenté aujourd’hui en Conseil des ministres les modalités du programme national « très haut débit » dont l’objectif est de stimuler l’investissement des opérateurs privés et soutenir les réseaux d’initiative publique par :

  • des prêts pour un montant total fixé à 1 milliard d’euros afin de renforcer la capacité d’investissement des opérateurs. Ces prêts seront également accessibles aux opérateurs privés choisis comme délégataires au terme d’une procédure ouverte dans le cadre de réseaux d’initiative publique. En outre, un label gouvernemental sera décerné aux opérateurs prenant des engagements en matière de rapidité et d’homogénéité de leur déploiement ;
  • une enveloppe de 900 millions d’euros, préfigurant le fonds d’aménagement numérique des territoires (FANT), consacrée aux projets des collectivités territoriales de déploiement de fibre optique. L’Etat veillera à la bonne articulation entre l’initiative privée et l’initiative publique. Par ailleurs, le cofinancement sera modulé selon la situation de chaque département, en prenant en compte la proportion de la population vivant en territoire rural. S’agissant de l’outre-mer, les modalités de financement seront adaptées afin de prendre en compte les spécificités de ces territoires. Une part minoritaire de cette enveloppe sera consacrée à améliorer la fourniture d’accès à internet à haut débit par des technologies alternatives telles que la montée en débit, en complément d’un projet de très haut débit. Les conditions de financement public seront similaires à celles retenues pour le très haut débit ;
  • un soutien de 40 millions d’euros en 2011, pouvant être étendu à 100 millions d’euros, pour des travaux de recherche et développement visant à préparer la nouvelle génération de satellites dédiés à l’accès très haut débit à internet. Ceux-ci permettront ainsi une couverture exhaustive du territoire national.

Comment Twitter pourrait bientôt permettre de prédire l’évolution de la Bourse

Un jeune Britannique de 28 ans, a mis au point un outil pour analyser la centaine de millions de « tweets » diffusés chaque jour.
Objectif : « comprendre » l’humeur boursière du moment et prédire ainsi l’évolution des marchés.
Lire l’article en intégralité sur le site de l’auteur

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