13/04/2012. L’Agence Nationale d’Appui à la Performance des établissements de santé et médico-sociaux (ANAP) avait publié en mars 2011 un guide méthodologique des coopérations territoriales, en s’appuyant sur des expériences issues du secteur sanitaire. Elle publie aujourd’hui un document complétant ce premier guide à partir de coopérations mises en place dans le secteur médico-social, avec notamment un focus sur le Groupement de coopération sociale et médico-sociale (GCSMS)…
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Les relations entre les Villes et leurs Ports
Le Club des villes portuaires et des territoires maritimes de la FNAU vient de produire un rapport sur les relations entres les villes et leurs ports.
Ce travail, qui s’appuie sur de nombreuses expériences françaises et internationales, illustre la capacité du réseau à produire des documents de référence sur les grandes problématiques du développement des villes. Il a été présentée à Gênes en septembre dernier à l’occasion de la 9ième Biennale des villes et des urbanistes d’Europe.
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Besançon-Dijon : Extension du domaine des coopérations CHU Dijon
En Mai 2009, les CHU de Dijon & Besançon décidaient de formaliser leur coopération par la signature d’un accord-cadre. La collaboration de longue date entre les deux structures était déjà établie, et renforcée par l’intermédiaire :
– de la Délégation interrégionale à la recherche clinique (DIRC) Est créée en 2005
pour structurer la recherche au niveau de l’interrégion Nord-Est,
– du Pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) Bourgogne – Franche- Comté signé par les deux universités en 2007 et formalisé par la création en 2010 d’une Fondation de coopération scientifique (FCS),
– et du Groupement de coopération sanitaire (GCS) Grand Est marquant la collaboration entre les CHR/U et les Universités de Besançon, Dijon, Metz- Thionville, Nancy, Reims et Strasbourg depuis 2007.
L’objectif de l’accord-cadre était d’accroître les actions et projets communs aux CHU de Dijon et Besançon en constituant un pôle hospitalier sud du Grand-Est. L’identification des domaines d’excellence de chacun des deux établissements devait permettre de mutualiser les axes redondants et renforcer les axes spécifiques à chacun des CHU. Cette stratégie commune devait aboutir à une meilleure lisibilité et un gain d’efficience dans les domaines de la recherche, de l’enseignement, des fonctions support et, bien sûr, du soin grâce à la mise en place et au développement de coopérations médicales et organisationnelles.
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