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Coworking : on a supprimé « MON » bureau ?

En effet, l’usage des nouvelles technologies facilite des méthodes de travail désormais plus flexibles, incluant une grande mobilité et davantage de collaboration, grâce à des outils informatiques adaptés au partage et à l’échange.
Le schéma classique du déplacement sur son lieu de travail et des journées de 8 heures passées derrière « SON bureau » va tendre à disparaître, ce qui contribue à abolir les frontières spatio-temporelles au sein même de l’entreprise.
Les méthodes de travail sont en train de se transformer… et le télétravail de se démocratiser, avec une conséquence : le travail est désormais une chose que l’on fait plutôt qu’un endroit où l’on se rend !
Selon une étude publiée sur le site globalworkplaceanalytics.com, le nombre d’employés qui télétravaillent plusieurs fois par semaine a enregistré une croissance de près de 80 % entre 2005 et 2012. Mais aujourd’hui, cela ne veut plus forcément dire travailler de chez soi. Une autre alternative est possible : les espaces de coworking.
Trois facteurs expliquent l’amplification de l’espace de travail non affecté :
1/ Financier : Le coût de l’immobilier est le second poste de dépenses après les salaires. Un commercial n’est à son poste de travail que 20 % de son temps, il est plus intéressant pour l’entreprise de financer son abonnement à des espaces de coworking à travers la France que de lui réserver un bureau qui reste vide 4 jours par semaine…
2/ Environnemental : Dans un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, permettre à vos collaborateurs de travailler dans des espaces de coworking peut être un bon point à mettre en valeur dans votre charte environnementale ! Cela permet aussi une réduction du stress et de la fatigue dus aux transports.
3/ Technologique : La révolution numérique et la naissance des nouvelles technologies ont amplifié le nomadisme, grâce au « cloud » qui permet un accès à votre univers de travail, peu importe où vous vous trouvez.
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La consommation collaborative, RÉVOLUTION ou tendance ÉPHÉMÈRE ?

Ces pratiques venues tout droit des États-Unis font partie de ce que l’on appelle aujourd’hui la consommation collaborative. Depuis 2 ans, la baisse importante du pouvoir d’achat et l’émergence du web 3.0 ainsi que des applications mobiles ont contribué à favoriser son développement.
Qu’est-ce que la consommation collaborative ?
Ce terme englobe plusieurs nouvelles façons de consommer :
- troquer ou revendre des objets d’occasion (leboncoin.fr, vide-dressing),
- louer des services entre particuliers (entreparticulier.com, YakaSaider),
- voyager en partageant avec ou auprès d’hôtes locaux (Airbnb, Couchsurfing, BlaBlaCar, Ouicar),
- réaliser des achats groupés alimentaires (La Ruche qui dit Oui).
Jenna Wortham, dans le New York Times, suggère de distinguer 2 formes de consommation collaborative :
- les formes où l’on se regroupe pour acheter en commun — pour obtenir un meilleur prix ou savoir ce qu’on achète et à qui —, ou financer un projet sur le principe du crowdfunding,
- les formes qui organisent le prêt, le don, le troc ou l’échange de biens, de temps ou de compétences entre particuliers.
D’après une enquête du magazine français 60 millions de consommateurs datant de 2014, pour 58 % des Français, la consommation collaborative représente le mode de consommation du 21e siècle. En effet, la « sharing economy », dite « économie collaborative », devrait atteindre près de 335 milliards de dollars d’ici à 2025, contre 15 milliards en 2014, soit une croissance de plus de 60 %. De plus, selon un sondage de Harris Interactive, 36 % des Français ont déjà fait appel à cette économie synonyme de valeurs telles que le partage et le développement durable. 29 % des Français ont déjà proposé leurs services de particulier à particulier. À titre comparatif, les Américains sont 33 millions d’acheteurs ou de revendeurs de biens de seconde main en ligne, l’équivalent de la moitié de la population française.
Ce mode de consommation qui diversifie l’offre existante n’est donc pas isolé et constitue un phénomène international.
Mais quel est le profil de ces nouveaux consommateurs ? …lire la suite…
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L’économie collaborative, quesaco ?

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