Archives Mensuelles: Mai 2020

Reprise des des chantiers de Paris Habitat @Paris_Habitat

Source  : Paris Habitat

Paris Habitat a préparé, en lien notamment avec les entreprises et les Coordinateurs Sécurité et Protection de la Santé des opérations, les conditions d’une reprise des chantiers.
Paris Habitat va privilégier la reprise des opérations neuves ou pour les programmes de réhabilitations, les travaux dans les locaux vacants, les espaces extérieurs afin de limiter les interactions avec les locataires.
Tour d’horizon des principales mesures.

Maintenir l’exigence de qualité et durabilité de nos travaux

Le logement social doit en effet continuer de jouer un rôle protecteur de ses habitants. « Cette crise a mis en exergue combien Paris Habitat jouait un rôle d’amortisseur des crises en accompagnant les plus fragiles d’entre nous. Dans le cadre des opérations d’amélioration du cadre de vie, nous n’avons pas attendu cette crise pour fixer des objectifs de développement durable, pas seulement en termes de diminution des consommations énergétiques, mais aussi de qualité des matériaux respectueux de l’environnement et de la santé des locataires. » À travers, le programme de réhabilitation des HBM, c’est aussi une volonté d’améliorer la qualité d’usage des logements, en venant les restructurer, les adapter aux attentes des ménages. « Cette pandémie a mis en évidence les difficultés de vivre confinés en famille dans des logements trop petits »

Hélène Schwoerer, directrice adjointe en charge de la maîtrise d’ouvrage et du développement à Paris Habitat

1 000 cafés pour redonner vie à des communes rurales, une initiative lancée par le Groupe SOS @GroupeSOS

 

Découvrez dés à présent le témoignage de Chloé Brillon Directrice de projets, Groupe SOS  –

Extrait de témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection réalisée par Arkea Banque E&I « Regards » en cours d’achèvement : en savoir plus sur la démarche : ICI

1 000 cafés… 1 000 lieux pour redonner vie à des communes rurales et faire revenir des commerces et des services de proximité qu’elles ont perdus. 1 000 cafés, un projet porté et financé par le Groupe SOS, première entreprise d’intérêt général européenne qui lutte depuis 35 ans contre toute forme d’exclusion. Chloé Brillon, directrice de projets, nous raconte.

Le constat est venu de cette fracture territoriale vécue dans les petites villes et villages du milieu rural qui perdent leurs commerces depuis des années. Plus de 60 % des communes de moins de 3 500 habitants n’en ont même plus du tout. Ce qui génère un sentiment d’abandon, et parfois cette impression de vivre dans des villages dortoirs où les espaces de sociabilité n’existent plus et où les contraintes liées à la mobilité accentuent l’isolement. Une étude du Conseil d’analyse économique de janvier 2020[1] a d’ailleurs mis en évidence le lien entre le mécontentement et le mal-être d’une partie de la population et la disparition des services collectifs : si les évolutions économiques jouent un rôle important, c’est également le cas de la perte des équipements – notamment du dernier commerce, des secteurs de l’éducation, de la santé et de la culture –, qui semble participer à une anxiété plus poussée et à une mobilisation dans le mouvement des Gilets jaunes. A contrario, lorsque le tissu associatif local est plus dense, les expressions de mécontentement sont plus rares.

Pour autant, selon Chloé Brillon, « ces territoires représentent aussi un beau potentiel. 32 % de la population réside dans une commune de moins de 3 500 habitants, et différentes études font ressortir leur véritable attachement à cet environnement rural et à sa qualité de vie. Elles montrent l’envie des habitants de voir revivre ou de créer des espaces de sociabilité. Et le meilleur vecteur pour faire vivre du lien, c’est évidemment le café. »

De cet état des lieux est née l’initiative 1 000 cafés, lancée par le Groupe SOS. Le projet consiste à ouvrir des cafés proposant des services complémentaires, 1 000 espaces si possible, plus même selon le souhait de son président, Jean-Marc Borello, afin de faire revivre le lien social dans le milieu rural.

Pourquoi un café ?  …lire la suite…

Georges Siffredi élu President du département des Hauts-de-Seine @hautsdeseinefr

Source : Hauts-de-Seine

Lundi 25 mai à l’Hôtel du Département, Georges Siffredi a été élu Président du Département des Hauts-de-Seine.

Georges Siffredi, premier Vice-Président du Département des Hauts-de-Seine, assurait l’intérim de Président depuis le 28 mars 2020, suite au décès de Patrick Devedjian. Georges Siffredi a été élu aux élections cantonales sur le canton de ChâtenayMalabry le 2 avril 1992. Il a été Vice-président du Conseil général des Hauts-de-Seine de 1994 à 1998. Le 31 mars 2011, il est à nouveau élu aux élections cantonales sur le même canton.
« Fidèle aux idées auxquelles il croyait, Patrick Devedjian était fidèle à ceux à qui il accordait sa confiance, cette fidélité, aux hommes comme aux idées, est devenue aujourd’hui une qualité aussi rare que précieuse… C’est dans cet esprit que je veux poursuivre ce mandat, dans la continuité d’une politique que notre assemblée a soutenue et votée depuis 5 ans : une politique à la fois rigoureuse et ambitieuse.
Néanmoins j’ai parfaitement conscience que nous ne pouvons pas faire simplement « comme avant », d’autant qu’à cette crise sanitaire, s’ajoute la perspective d’une crise économique et sociale sans précédent, et notre Département aura un rôle majeur à jouer. Il va donc falloir décupler nos forces et mettre l’accent sur deux priorités : les solidarités, et la relance économique. »
Georges Siffredi, Président du Département des Hauts-de-Seine

Continuer à construire en centre-ville et rendre les terres à leur rôle originel, agriculture et paysage – Regards de Sedia BFC @cmarkea

Découvrez dés à présent le témoignage de Vincent Fuster, Président directeur général et Bernard Bletton, Directeur général délégué, Sedia BFC –

Extrait de témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection réalisée par Arkea Banque E&I « Regards » en cours d’achèvement : en savoir plus sur la démarche : ICI

Société d’économie mixte implantée à Besançon, Sedia se concentre depuis 2018 sur la rénovation des centres-villes en tant qu’ensemblier, aménageur et investisseur. Vincent Fuster, président directeur général, et Bernard Bletton, directeur général délégué, ont pour ambition d’intensifier les partenariats et l’innovation afin de tenter de résoudre la problématique du financement des opérations et, par extension, de lutter contre l’expansion urbaine.

Née dans les années 1960, détenue à 53 % par des collectivités, Sedia présente deux particularités. « Elle intervient sur trois départements, Doubs, Haute-Saône et Jura, explique Vincent Fuster, et elle a constitué, avec l’accord des collectivités actionnaires, un collectif d’entreprises publiques locales au service de l’intérêt général. Les élus proches du terrain maîtrisent donc la gouvernance de leurs outils et des opérations, tout en bénéficiant de tous les métiers du développement local, et Sedia maîtrise ses risques en les compartimentant, tout en étant capable d’assurer la responsabilité globale d’un projet important. » .

DES OPÉRATIONS EN CŒURS DE VILLE VITALES, MAIS DIFFICILES À FINANCER
Dès 2018, Sedia inscrivait dans son plan stratégique la volonté d’accompagner les collectivités dans la revitalisation de leur centre-ville ou de leur centre-bourg. La Sem était donc prête à l’arrivée du dispositif Action Coeur de ville.

« Nous les avions déjà écoutées, reprend Vincent Fuster. Dès l’application du programme Action Coeur de ville, nous avons rencontré les élus et les chefs de projets de villes signataires, Besançon, Dôle, Lons-le-Saunier, Montbéliard et Vesoul. Notre objectif est d’être présent à leurs côtés, de voir ce que nous pouvons apporter, comment travailler ensemble. Les réponses sont différentes selon les collectivités et leurs besoins. Nous avons par exemple été immédiatement intégrés au comité de pilotage à Besançon, nous travaillons sur la rénovation de centre-ville de Montbéliard, et nous nous adaptons aux intentions et au planning des autres villes. »

Réanimer le centre-ville historique de Besançon, c’est l’ambition du 62 programme de rénovation du site Saint-Jacques, un hôpital bâti au XVIIe siècle aujourd’hui fermé. Objectifs : ouvrir le lieu à tous les Bisontins, créer de l’activité économique et culturelle, implanter un grand parc urbain.

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Retard de paiement : pas de pénalités quant aux loyers commerciaux@pap_fr

Source : PAP

Ce sont les ordonnances n°2020-316 du 25 mars 2020 et n°2020-378 du 31 mars 2020 qui offrent la possibilité d’étaler ou de reporter le paiement des  loyers commerciaux ou professionnels ainsi que le report ou l’étalement des factures d’eau, de gaz et d’électricité. Il s’agit juste d’une autorisation à payer en retard.

Les ordonnances sont très claires: les locataires ne peuvent se voir poursuivre en justice pour les impayés de loyer ou de factures eau/gaz/électricité nés pendant la période d’état d’urgence qui a débuté le 24 mars et prendra normalement fin le 10 juillet prochain. La loi  étend la protection de deux mois après la cessation de l’état d’urgence sanitaire c’est la raison pour laquelle on retient la date du 10 septembre

Quels sont les locataires bénéficiaires ?

L’ordonnance n° 2020-317 du 25 mars 2020 portant création d’un fonds de solidarité précise que cette mesure bénéficie aux personnes physiques (travailleurs indépendants, artistes-auteurs, etc.) et aux personnes morales de droit privé (sociétés, associations, etc.) exerçant une activité économique et remplissant les conditions suivantes :     …en savoir plus…

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