Archives du 30 avril 2020

Mulhouse a repris sa place de ville commerçante – La parole à Frédéric Marquet @cmarkea @mulhouse

Découvrez dés à présent le témoignage de Frédéric Marquet, Manager du commerce de Mulhouse –

Extrait de témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection réalisée par Arkea Banque E&I « Regards » en cours d’achèvement : en savoir plus sur la démarche : ICI

Avec 506 ouvertures de commerces en huit ans, Mulhouse est aujourd’hui la ville française la plus dynamique en matière de commerce de centre-ville.
Elle est aussi une ville qui revient de loin. Ce challenge a été mené par tous, municipalité, commerçants, agents immobiliers, investisseurs, habitants, et Frédéric Marquet, manager du commerce arrivé en 2011 pour participer au déploiement du programme Mulhouse Grand Centre.

L’histoire du renouveau de Mulhouse s’engage en 2011. La ville, avec un taux de pauvreté deux fois plus élevé que la moyenne française, est dans une situation difficile. Elle fait face à une activité commerçante du centre ville éprouvée par deux ans de travaux du tramway. Certains commerces réussissent à se maintenir, mais d’autres ferment, alors que la France subit les effets de la crise financière mondiale. La ville compte alors 109 friches commerciales, dont 4 000 m2 d’affichage sauvage au cœur du centre piéton, du fait de la délocalisation de Monoprix à Porte Jeune, et un taux de 14 % de vacance, le plus élevé sur le territoire national.

Pourtant, Mulhouse disposait de certains atouts. Sa forte identité industrielle – elle fut l’un des premiers pôles industriels d’Europe grâce à ses filatures et à l’exploitation minière –, lui a permis de devenir la capitale européenne des musées de la création industrielle et membre de la communauté des villes Ariane pour son industrie spatiale. Elle a également modelé sa population, puisqu’elle compte 136 nationalités, et 42 % de la population a moins de 30 ans, ce qui en fait la grande ville la plus jeune de France. Par ailleurs, les liens qu’elle entretient avec l’Allemagne et la Suisse la positionnent comme pôle stratégique multimodal grâce à ses deux LGV, Rhin-Rhône et Est européenne, et à l’aéroport international de Bâle-Mulhouse-Fribourg, et la moyenne des revenus dans sa zone de chalandise (420 000 habitants) est supérieure de 27 % à la moyenne française.

Jean Rottner, élu maire en 2010, décide alors de lancer Mulhouse Grand Centre. Un programme ambitieux pour relancer l’attractivité du centreville sur un périmètre élargi, avec un budget de 36 millions d’euros sur une période de six ans et centré sur quatre axes de travail : l’habitat, les espaces 60 publics, les déplacements, et le commerce.

« Pour l’habitat, détaille Frédéric Marquet, l’objectif était de rééquilibrer l’offre et de donner envie aux habitants avec un meilleur pouvoir d’achat de revenir vivre au centre-ville. Afin d’embellir l’environnement, nous avons incité les propriétaires à restaurer leur bien grâce à un programme d’aides très incitatives : les propriétés et les copropriétés qui enclenchaient des travaux la première année bénéficiaient de 40 % de subvention (plafonnée à 10 000 euros), de 25 % la deuxième année et de 15 % la troisième année.

Résultat, plus de 200 façades ont été ravalées sur cinq ans. Renforcée par l’embellissement de l’espace public au même moment (dalles de porphyre
rouge, nouvelle signalétique, mobilier urbain, interventions artistiques…), l’ambiance du centre-ville dégage aujourd’hui qualité et cohérence. L’impact est un peu moins visible sur l’habitat car plus long à se concrétiser. Les programmes signés en 2013 ou 2014 commencent seulement à être
emménagés. Mais ils attirent une clientèle à bon pouvoir d’achat et les projets très haut de gamme sont très vite commercialisés. »

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Des difficultés à payer le loyer ? Voici les aides disponibles @LocService_fr #Covid_19

Source :  blog.locservice.fr

Avec la crise du Covid-19, de nombreux locataires subissant une perte de revenus se retrouvent en situation délicate pour payer leurs loyers. Heureusement, des aides existent pour passer ce cap difficile.

Premier réflexe : ne pas attendre

Un incident de parcours, cela arrive, a fortiori dans la période actuelle : salariés au chômage partiel ou total, indépendants accusant une perte de chiffre d’affaires, nombreux sont les locataires qui peuvent présenter des difficultés passagères pour honorer leurs loyers. Ainsi, il n’y a aucune honte à en parler à votre bailleur : c’est d’ailleurs ce qu’il faut faire, et le plus rapidement possible. En effet, il ne faut surtout pas laisser la situation s’aggraver, et le bailleur se montrera généralement compréhensif en proposant un étalement de la dette ou un report du loyer.

Les aides : CAF, FSL et Action Logement

Dès que des difficultés apparaissent, le mieux est de contacter par mail ou par téléphone l’Adil de votre département. Un conseiller répondra gratuitement à vos questions et évaluera votre éligibilité à une aide pour payer le loyer.

Les allocations logement de la CAF, c’est-à-dire l’APL, l’ALF ou l’ALS, peuvent vous être d’une première aide (même si elle n’est que partielle) si vous n’en êtes pas encore bénéficiaire. Par ailleurs, le fonds de solidarité pour le logement (FSL), doté de 350 millions d’euros, accorde des prêts ou des subventions aux personnes en grandes difficultés pour qu’ils puissent régler les dettes de loyers ou de charges locatives. La nature de l’aide fournie dépendra bien sûr de la situation du demandeur. Chaque département dispose d’un FSL avec ses propres critères d’attribution.

Enfin, Action Logement se mobilise également pour venir en aide aux salariés dont la situation financière est affectée par la crise actuelle. En temps normal, le dispositif d’aide nommé CIL PASS Assistance est réservé aux entreprises du secteur privé de plus de 10 salariés ou aux demandeurs d’emploi. Compte tenu de la gravité de la situation en ce moment, Action logement étend cette aide aux entreprises du secteur privé de toute taille pour les mois d’avril et de mai 2020. Elle est réservée aux personnes en situation de chômage partiel ou total, en perte d’activité en raison du confinement ou de la maladie, et subissant une baisse de revenus les empêchant de régler tout ou partie de leur loyer. L’aide prend la forme d’un report de loyer ou d’une subvention, en fonction de la situation dans laquelle se trouve le salarié (durée de son chômage partiel, montant des pertes de revenus).

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CA de la promotion impacté par la crise COVID-19 & un 1er trimestre robuste sur les foncières @Icade_Officiel

Source : Icade

ICADE – ACTIVITÉ AU 31 MARS 2020
UN PREMIER TRIMESTRE ROBUSTE SUR LES DEUX FONCIÈRES, LE CHIFFRE D’AFFAIRES DE LA PROMOTION DÉJÀ IMPACTÉ PAR LA CRISE COVID-19

 ACTIVITÉ LOCATIVE DES FONCIÈRES (92% CFNC (1)) : CROISSANCE SOLIDE DES LOYERS (~+8%)
o Foncière Tertiaire : revenus locatifs en hausse de +5,7% sur les bureaux et parcs d’affaires ; +2,9% à périmètre constant
o Foncière Santé : croissance des loyers de +15,3% ; +1,7% à périmètre constant

 ACTIVITÉ DE LA PROMOTION (8% CFNC (1)) : DES INDICATEURS AVANCÉS TOUJOURS POSITIFS, MAIS CHIFFRE D’AFFAIRES EN BAISSE
o Backlog de 1,3 Md€, en hausse de +3,7%1
o Chiffre d’affaires à 101M€, -32% dans un contexte d’arrêt de plus de 90% des chantiers

 STRUCTURE FINANCIÈRE
o Trésorerie de près de 750 M€ à fin mars et renforcement des lignes de back-up à plus de 2 Md€

 POINT D’ÉTAPE SUR L’ÉVOLUTION DE LA CRISE COVID-19 : ICADE RÉACTIVE ET SOLIDE
o Icade solide et robuste
o Impacts financiers en cours d’estimation
o Guidance 2020 suspendue ; prochain point d’étape lors de la publication des résultats semestriels

« Dans le prolongement de la bonne dynamique sur le quatrième trimestre 2019, l’année 2020 avait démarré de manière satisfaisante pour l’activité de nos deux Foncières, avec des revenus locatifs en croissance de près de 8%. L’activité de promotion a subi dès le mois de mars les premiers effets sensibles de la crise Covid-19. Depuis le début de la crise, Icade est réactive et applique avec beaucoup de rigueur l’ensemble des dispositions prises par le gouvernement. Grâce à la mobilisation sans faille de nos collaborateurs, nous gérons au mieux cette crise sanitaire et économique. Les récentes signatures de baux sur la Foncière Tertiaire, d’une promesse d’achat sur la Foncière Santé et de ventes de logements sur la Promotion, 100% digitales, témoignent de notre capacité d’adaptation. Les effets de la crise sur l’année 2020 seront très vraisemblablement matériels ; mais nous sommes optimistes pour l’avenir : il y aura un « jour d’après », et Icade s’y prépare déjà » Olivier WIGNIOLLE, CEO

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#Nomination : Cécile LIEGEOIS Adjointe au Directeur du Marché Immobilier Sud et Ouest au sein d’ARKEA Banque E&I à TOULOUSE @cmarkea

Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, filiale du groupe ARKEA dédiée au financement des entreprises, des institutionnels et des professionnels de l’immobilier, a le plaisir d’annoncer la nomination de Cécile LIEGEOIS en qualité d’Adjointe au Directeur du Marché Immobilier Sud et Ouest à compter du 1er avril 2020

Cécile LIEGEOIS évolue depuis une vingtaine d’année au sein d’Arkéa Banque Entreprises & Institutionnels. Elle a successivement exercé les postes d’assistante commerciale et de chargée de clientèle sur le marché de l’immobilier à Bordeaux. L’obtention de l’ITB lui a permis d’évoluer en qualité de responsable de clientèle sur le secteur de Toulouse afin de développer ce portefeuille.

Forte d’une expérience accomplie dans l’immobilier, Cécile LIEGEOIS aura pour mission de mettre en oeuvre la stratégie commerciale de la direction des marchés de l’immobilier et d’assurer la visibilité du groupe ARKEA sur la partie Occitanie et Sud-Est, sous la responsabilité de Christophe GUERNIOU, Directeur du marché de l’Immobilier Sud et Ouest.

Rédaction : Alexandra Poloce

Arcange cède, de manière dématérialisée, un de ses actifs immobiliers @GroupeArcange

       Source : ARCANGE

Peu après avoir acquis un immeuble à Paris 10, le Groupe Arcange, de nouveau de manière dématérialisée, cède un de ses actifs immobiliers parisiens

Paris, le 27 avril 2020 · Ayant désormais intégré la signature électronique dans les process de sa politique d’investissement, le Groupe Arcange poursuit la gestion dynamique de son patrimoine en effectuant un arbitrage, lui aussi finalisé par voie électronique.La foncière-développeur, grâce à un pouvoir général transmis à son étude notariale, vient de vendre un ensemble immobilier situéautour de la Bourse, dans le quartier du mail.

La période inédite actuelle ne freine en rien le dynamisme du Groupe Arcange. Converti au 100% digital pour conserver son ultra-réactivité, celui-ci vient de vendre à un fonds d’investissement institutionnel français un ensemble mixte situé dans le deuxième arrondissement parisien.

« La rotation de notre portefeuille immobilier est une des composantes de notre stratégie patrimoniale. Elle participe à la création de valeur globale de nos actifs. L’immeuble que nous cédons affiche un potentiel de valorisation indiscutable que nous avons d’ores et déjà initié et auquel son acquéreur a été sensible. » explique Marc de La Bardonnie, directeur des investissements du Groupe Arcange et Michaël Sfedj, son président-fondateur, de poursuivre,« Investir, arbitrer et commercialiser par voies digitales, gérer une DIA et les procédures adminisitratives via Internet jusqu’à réitérer par le biais de signatures électroniques sont des process aujourd’hui fiables, sources de gain de temps et d’optimisation financière, qui se poursuivront probablement même après le déconfinement. Maître Déborah Ganem, notaire de l’étude Strock & Associés a géré cette cession dotée de l’ensemble des pouvoirs permettant de la finaliser. »

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 Arcange_arbitre_en_mode_digital_27avril2020.pdf

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