Archives du 28 juin 2015

AXELLE LEMAIRE ANNONCE 8 NOUVELLES LABELLISATIONS

  

Convaincu que l’éclosion de startups susceptibles de devenir des leaders internationaux passe par la structuration d’écosystèmes dynamiques et fédérés, l’Etat a lancé un programme de labellisation de « Métropoles French Tech » pour identifier des écosystèmes.
« L’objectif premier du label Métropole French Tech était de susciter partout une mobilisation collective de tous les acteurs, privés et publics, en faveur de la croissance des startups françaises : ce pari est tenu. L’engouement a été extraordinaire. Des milliers des personnes, entrepreneurs en tête, ont construit ensemble au fil des mois des projets ambitieux pour leur territoire et pour leurs startups. Je tiens à les féliciter tous. » déclare Axelle Lemaire.
Faisant suite à la désignation de 9 Métropoles French Tech en novembre dernier, 8 nouveaux écosystèmes sont aujourd’hui labellisés:
– 4 nouvelles Métropoles French Tech: Brest Tech plus (Brest, Morlaix, Quimper et Lannion), Normandy French Tech (Rouen, Caen et Le Havre), Lor’NTech (Metz, Nancy, Thionville et Epinal) et French Tech Côte d’Azur (Nice, Cannes, Grasse et Sophia-Antipolis). Les désormais 13 Métropoles French Tech au coté de Paris, joueront un rôle de moteur pour l’ensemble de l’écosystème français.
– Emmanuel Macron et Axelle Lemaire ont décidé de labelliser également des dynamiques spécifiques remarquables dans 4 écosystèmes candidats, en leur attribuant un label thématique, « French Tech », à titre pilote : Alsace pour les MedTech, Avignon les CultureTech, Saint-Etienne le DesignTech et Angers les IoT-Tech. Les conditions de candidature à ces labels thématiques pour d’autres écosystèmes seront précisées à la rentrée, ainsi que les autres thématiques proposées.
Pour rappel, quatorze candidats étaient en lice pour cette 2ème vague de labellisation. Il s’agit de (par ordre de dépôt de dossier) : Toulon, French Tech Normandy (Rouen-Caen-Le Havre), Saint-Etienne, French Tech Côte d’Azur (Nice, Cannes, Grasse, Sophia-Antipolis), Brest+ (Brest, Morlaix, Quimper, Lannion), LorNtech (Metz, Nancy, Thionville, Epinal), Annecy, Avignon, French Tech Alsace (Strasbourg, Mulhouse), French Tech Loire Valley (Orléans-Tours), French Tech Poitou-Charente (La Rochelle, Poitiers, Angoulême, Niort), Limoges, Grand Besançon, Angers.
Source : La French Tech

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La maladie, premier facteur d’absentéisme dans les collectivités territoriales

  

D’une manière générale, la maladie est la nature d’arrêt la plus fréquente, concerne le plus grand nombre d’agents mais n’est pas celle qui dure le plus longtemps. La maladie ordinaire représente le premier facteur d’absence pour raisons de santé et concentre au global 48% du taux d’absentéisme pour raison de santé.

En 2014, la fréquence des arrêts atteint 65 arrêts pour 100 agents. La maladie ordinaire en est le premier contributeur et représente 83% de l’ensemble des absences, soit 54 arrêts pour 100 agents. En 2014, la fréquence des arrêts en Maladie Ordinaire a connu une augmentation significative, de plus de 11%, après s’être infléchie en 2012 et 2013.
Sur les 42% d’agents absents au moins une fois en 2014, 31% d’entre eux l’ont été pour cause de maladie ordinaire (6% pour accident du travail, 3% pour longue maladie et 2% en maternité). La proportion des agents absents au moins une fois dans l’année en Maladie Ordinaire a connu une augmentation de plus de 4% en 2014.
Principale cause d’absence, l’arrêt de travail en maladie ordinaire n’est pas celui qui dure le plus longtemps. En effet, la durée moyenne d’absence s’élève à 37 jours, toutes natures d’arrêt confondues. La maladie ordinaire ne représente que 22 jours en moyenne contre 222 jours pour la nature de maladie la plus lourde (longue maladie). Toutefois, l’âge exerce une influence importante sur la durée des absences. Plus les agents avancent en âge, plus la durée des arrêts tend à s’allonger.
Enfin, si les absences pour maladie ordinaire sont moins longues, elles font peser un risque pour la collectivité confrontée à des arrêts fréquents de courte durée qui sont par nature non prévisibles et répétitifs.
L’impact important des absences sur le budget de fonctionnement des collectivités
Le coût moyen des absences par agent employé s’établit en 2014 à 1921 euros toutes natures d’arrêt confondues. La maladie ordinaire représente 45% de ce coût moyen (soit 873 euros), suivi de la longue maladie (28%, soit 533 euros).
Le coût moyen d’un arrêt en maladie ordinaire s’élève à 21 428 euros sur la base d’un salaire moyen et peut atteindre 137 517 euros pour un congé de longue durée. La prise en charge des frais médicaux entraîne un impact budgétaire direct sur la collectivité, mais également des coûts indirects (remplacement, réaffectation, surcharge de travail, stress..). Les études économiques sur le sujet soulignent que ces derniers représentent un engagement financier plusieurs fois supérieur à celui des coûts directs.
Enfin, l’impact financier global des absences varie selon l’effectif employé par les collectivités. Le montant peut varier de 380 000 euros pour une commune de 220 agents à plus de 6 millions d’euros pour une région de 3 500 agents.
La nécessité de maîtriser les absences pour améliorer la performance des organisations
Confrontées à la réforme territoriale engagée par la loi NOTRe qui amorce une mutation profonde du cadre institutionnel local et à la réduction des enveloppes budgétaires, les collectivités doivent mieux maîtriser les absences pour optimiser la performance globale de leur organisation.

En savoir plus site SOFAXIS (télécharger l’étude)

Sofaxis, courtier de référence en assurance des collectivités territoriales et des établissements hospitaliers et expert en matière de performance des organisations et de santé au travail, publie, via son entité Sofcap, sa nouvelle note de conjoncture sur les absences pour raison de santé des agents territoriaux. Ce document permet aux décideurs territoriaux de mieux appréhender les absences dans leurs collectivités en disposant d’indicateurs de référence, et d’engager toutes les actions nécessaires en faveur de la santé durable de leurs agents.

La note de conjoncture de Sofaxis relève que le taux d’absentéisme dans les collectivités territoriales s’élève en moyenne à 8,7% en 2014. Depuis 2009, ce taux a connu une croissance de 18% toutes natures d’arrêts confondues (maladie ordinaire, longue maladie/longue durée, accident du travail et maternité). Corollaire de cette augmentation, le nombre de jours d’arrêts par agent employé a progressé de 12% depuis cinq ans, passant de 22 à 24 jours.

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