Avec la Société publiques locale « Eau du Ponant », Brest Métropole Océane se dote d’un nouvel outil pour assurer la gestion de son eau potable
Maxime Paul : « La Spl, un outil de transparence »
Avec la Société publiques locale « Eau du Ponant », Brest Métropole Océane (BMO) se dote d’un nouvel outil pour assurer la gestion de son eau potable. Elle prendra le relais en 2012 du contrat de délégation de service public passé avec Veolia 25 ans plus tôt. Rencontre avec Maxime Paul, vice-président de la Spl et de la communauté urbaine bretonne.

Servir le Public : Pourquoi la création d’une Société publique locale pour gérer l’eau de la Communauté urbaine de Brest ?
Maxime Paul : Pour plusieurs raisons. C’est d’abord la décision d’un retour à une gestion publique, car il semble qu’un service de cette nature doit garder une maîtrise publique. C’est ensuite pour un motif territorial. Brest métropole océane et trois syndicats voisins, du Chenal du Four, de Kermorvan et de Landerneau, ont décidé de travailler ensemble. Une Spl était l’outil le plus adapté à une mutualisation des moyens tout en laissant à chaque territoire l’autonomie et l’initiative indispensables sur le plan, par exemple, de la politique tarifaire ou encore du montant des investissements. A l’inverse, un syndicat mixte aurait été obligé d’unifier le service pour l’ensemble des 280 000 habitants concernés sans pouvoir se caler sur les spécificités locales…lien vers le site de la fédération des EPL…
Publié le 14 février 2011, dans Non classé, et tagué Brest, Brest Métropole Océane, Collectivités, Economie Locale, sociétés publiques locales, SPL. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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