Archives Mensuelles: juillet 2020
Erilia s’engage en faveur des locataires en fragilité économique impactés par la crise du Covid-19 @Erilia_Officiel
Source : Erilia

Lundi 6 juillet, Frédéric Lavergne, Directeur général d’Erilia a signé avec les sept associations de locataires présentes dans le patrimoine d’Erilia (CNL, CLCV, FLAM-Familles rurales, CGL, INDECOSA CGT, l’AFOC, Union départementale CSF 13) siégeant à la Commission Nationale de Concertation, au Conseil de l’Habitat ou au Conseil National de la Consommation, une charte pour l’accompagnement des locataires fragilisés économiquement par la crise du COVID-19. Grâce à cette charte, Erilia entend apporter à ses locataires des solutions pour faire face à la crise économique résultant du Covid-19. Elaborée en concertation avec les associations de locataires, cette déclinaison locale du dispositif d’accompagnement national signé en mai dernier par l’Union sociale pour l’habitat, cible des actions pour limiter les conséquences de la crise sanitaire aussi bien sur l’aspect social et économique des familles en difficulté financière. Dans le prolongement des actions conduites par Erilia durant la période de confinement (campagnes d’appels, plan d’aides spécifiques…) pour venir en aide à ses habitants les plus fragiles, la charte propose des solutions individualisées et adaptées à chaque situation. Erilia s’engage notamment à renforcer sa politique de « l’Aller-Vers » en prenant l’initiative du contact avec les locataires détectés en fragilité financière par le développement d’outils et de dispositifs de soutien facilement accessibles (rubrique dédiée sur l’espace client en ligne, courrier de relance…). Les locataires justifiant d’une baisse de revenus pourront aussi bénéficier…lire la suite…
Naissance d’une nouvelle SAC HLM : Plurial Novilia et l’OPH de Saint-Dizier se dessinent un avenir en commun @PlurialNovilia @ActionLogement
Source : Plurial Novilia
Plurial Novilia et l’OPH de Saint-Dizier officialisent aujourd’hui leur rapprochement à travers la création d’une nouvelle Société Anonyme de Coordination.
Ce nouveau format juridique destiné au secteur HLM a vu le jour dans le cadre de la loi ELAN et permet aux bailleurs sociaux de se réunir sans pour autant fusionner, afin de répondre aux nouveaux critères fixés par l’Etat.
Les deux bailleurs sociaux ont décidé de créer une Société Anonyme de Coordination, comme prévu dans le cadre de la loi ELAN.
A travers ce rapprochement, les deux acteurs souhaitent mettre en commun leurs compétences au service des territoires.
Dans un ensemble de 40 000 logements, la nouvelle SAC concerne 5 000 logements locatifs sur la seule agglomération de Saint-Dizier, Der et Blaise.
Soutenir la vitalité des territoires au cœur des villes @cmarkea
A l’occasion de la publication de « Regards sur les cœurs de Ville », un recueil de 24 témoignages d’acteurs publics et privés sur la revitalisation des centres-villes, Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels revient sur son engagement en faveur de la redynamisation des villes moyennes.
Pourquoi la banque s’est-elle mobilisée en faveur du plan Action Cœur de Ville ?
Philippe Ménigoz directeur du marché des institutionnels d’Arkéa Banque E&I : Soutenir la vitalité économique des territoires fait partie de nos axes stratégiques. Nous sommes devenus un acteur essentiel du financement du développement local, avec 7,7 Mds € d’encours de crédit dans des projets qui ont pour point commun l’amélioration de la vie des citoyens.
Dès lors la banque a voulu s’associer au plan Action Cœur de Ville, un plan à 5 ans initié par le ministère de la Cohésion des territoires, qui vise à améliorer les conditions de vie des habitants des villes moyennes en actionnant plusieurs leviers : le commerce, l’habitat, les transports, les services publics et la mise en valeur du patrimoine.
Partenaire historique du financement de toute la chaîne immobilière, la banque a décidé en 2019 de consacrer une enveloppe de 500 M€ pour financer, par des prêts à long terme et en complément des aides publiques, les investissements des collectivités, entreprises publiques locales et organismes HLM engagés dans la démarche « Action Cœur de Ville ».
La question du logement est capitale. Souvent, les appartements en centre-ville ont été délaissés au profit de la périphérie, qui offre un foncier moins cher et des constructions neuves. Sans habitant, le quartier périclite et se dégrade, entraînant une spirale négative. Comment réhabiliter des logements anciens, en restant dans des coûts abordables pour les classes moyennes ?
Pouvez-vous nous donner quelques exemples d’opérations financées au sein de cette enveloppe ?
Cyril Cury, directeur adjoint du marché des institutionnels Nouvelle Aquitaine chez Arkéa Banque E&I : Pau est un exemple emblématique. Pour faire revenir des propriétaires dans le centre, un programme d’habitat participatif a été conçu autour de 15 logements avec des parties communes, comme une buanderie ou une salle commune de réception. La commercialisation s’appuie sur deux dispositifs particuliers de financement : le Prêt Social à la Location-Accession (PSLA) et le Bail Réel et Solidaire (BRS). Introduit par la loi Alur, le BRS sépare le foncier, porté par un Organisme de Foncier Solidaire, et le bâti, ce qui permet d’acquérir un logement à un prix inférieur de 40 % au prix du marché. Nous sommes intervenus à plusieurs stades du projet avec le préfinancement de l’Organisme de Foncier Solidaire pour l’acquisition du foncier et dans l’accompagnement du COL
(Comité Ouvrier du Logement) dans son rôle de promoteur-constructeur. Treize logements ont déjà été commercialisés en BRS et, pour les heureux bénéficiaires, il s’agit véritablement d’une révolution dans l’accession à la propriété.
Emmanuel Brisson, responsable de clientèles institutionnelles chez Arkéa Banque E&I : Toulon s’est lancé depuis plusieurs années dans la rénovation de ses quartiers anciens, dont l’aménagement est confié à la SAEM Var Aménagement Développement (VAD). Dans ce cadre, VAD achète des îlots et les réhabilite. Derrière les façades conservées, les structures sont nettoyées [curées] et réhabilitées, puis revendues à des bailleurs sociaux ou des investisseurs privés. Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels finance VAD durant la période de portage, qui dure entre deux et trois ans. Ce sont des projets à long terme, car il faut une bonne vingtaine d’années pour qu’un centre-ville redevienne
vraiment agréable, mais on voit déjà, progressivement, revenir la vie de quartier et la mixité souhaitée.
A l’issue de la crise, les villes moyennes semblent attirer de plus en plus d’urbains. Quelles perspectives cela vous ouvre-t-il ?
Philippe Ménigoz : C’est vrai que cette crise pourrait annoncer la revanche des villes moyennes. Dès lors, transformer de façon pérenne les centres-villes en lieux de vie ouverts et dynamiques prend une nouvelle acuité. Dans ce contexte, la banque dispose d’atouts majeurs. Notre taille intermédiaire nous procure un avantage unique sur le marché : nous connaissons bien tous les interlocuteurs, publics et privés, ce qui nous donne une vision globale. Ces projets requièrent des financements bien
particuliers, ainsi qu’une politique de risque adaptée. C’est précisément notre savoir-faire !
Redynamiser les commerces de centre-ville, promouvoir l’habitat social et permettre aux
investisseurs d’apporter des fonds supplémentaires au secteur public, c’est notre ambition pour aider les villes moyennes face aux grandes métropoles.
Mais nous allons plus loin. Profitant de notre position au cœur de l’écosystème, nous ouvrons notre carnet d’adresses pour susciter des liens entre nos clients. Et nous contribuons à la réflexion sur l’attractivité des territoires, en publiant ce « Regards sur les cœurs de Ville », qui donne la parole à 24 acteurs partageant leurs expériences concrètes. C’est ça la touche Arkéa !
Comment revitaliser les villes moyennes ? Arkéa Banque E&I contribue aux débats @cmarkea

Rennes, le 7 juillet 2020 – Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, filiale du groupe Arkéa dédiée au financement des entreprises, des institutionnels et des professionnels de l’immobilier, publie « Regards sur les cœurs de ville », un recueil de témoignages terrain sur la revitalisation des villes moyennes.
La crise sanitaire pourrait annoncer la revanche des villes moyennes, désormais recherchées par les urbains aspirant à une meilleure qualité de vie. Comment accompagner cet afflux de citadins pour transformer de façon pérenne les centres-villes en lieux de vie ouverts et dynamiques ?
Voici 24 précieux témoignages d’acteurs, publics et privés (voir ci-après), qui oeuvrent depuis plusieurs années, et particulièrement dans le cadre du programme « Action Coeur de ville »* mis en place en 2018, pour soutenir les collectivités locales et inciter les acteurs du logement, du commerce et de l’urbanisme à réinvestir les centres-villes.
Ils ont accepté de partager leurs expériences autour des six grands axes essentiels : réhabilitation des logements, développement économique et commercial, accessibilité, mobilité et connexion, mise en valeur de l’espace public et du patrimoine, accès aux équipements et services publics……en savoir plus…
Mutuelle Mieux-Etre confirme la persistance de bons résultats @Mut_MieuxEtre

Résultats annuels 2019 : Mutuelle Mieux-Etre confirme la persistance de bons résultats et un ratio de solvabilité de 301% supérieur à la moyenne du marché.
Mutuelle Mieux-Etre a maintenu en 2019 sa stratégie de développement via le courtage et poursuit son plan de maîtrise de la gestion déléguée. Malgré un contexte de taux d’intérêt toujours bas, la mutuelle affiche un résultat net après impôt de 3,65 millions d’euros encore une fois en progression.
Le chiffre d’affaires ressort à 141,44 millions d’euros.
Face à la crise sanitaire actuelle, Mutuelle Mieux-Etre a su mettre sa performance au service de ses adhérents. Forte de ses bons résultats et fidèle à ses valeurs mutualistes, elle a valorisé son offre de services (téléconsultation, assistance psychologique…) auprès de ses adhérents et accompagné ses entreprises dans cette période difficile en remboursant les cotisations santé d’avril relatives à l’activité partielle.
Stéphane Varda, Directrice Générale, précise : « Nous appréhendons notre activité dans une vision durable de service à nos adhérents et à nos partenaires, de maîtrise des risques et de pérennité financière. Notre solvabilité de plus de 300% et nos bons résultats traduisent une situation solide et saine, garante de notre capacité à innover et à investir sur l’avenir. Nous avons été la première mutuelle à proposer des garanties 100% Santé, dans le cadre de notre nouvelle offre Esprit Santé déclinée pour les particuliers et les entreprises. En résonance avec notre marque Mieux-Etre et pour rendre le meilleur service à nos adhérents, nous avons poursuivi l’enrichissement de nos services d’assistance et élargi l’accès à la téléconsultation. Ces services ont su prouver toute leur utilité en cette période d’épidémie Covid-19. »
A propos de Mutuelle Mieux Etre
Mutuelle Mieux Etre est acteur de la protection sociale depuis 1927. Mutuelle interprofessionnelle et mutuelle professionnelle des entreprises du BTP sous sa marque SMBTP, elle est membre du groupe PRO BTP et est affiliée à la SGAPS BTP depuis 2016. Mutuelle à taille humaine, elle sait s’adapter rapidement aux besoins des entreprises, des particuliers et des TNS. Actrice d’un développement social et responsable, elle s’engage pour offrir, au-delà des garanties, des prestations de service destinées à favoriser l’accès aux soins, la prévention et l’accompagnement des personnes et des entreprises.
Contact presse : Marion Jeux – 01 44 93 11 78 – marion.jeux@mieux-etre.fr