Archives du 19 juin 2020
8ème Comité régional des acteurs de la transition énergétique et du climat – 22 juin à Bordeaux @NvelleAquitaine @Bordeaux

Source : NOUVELLE-AQUITAINE
Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, et Françoise Coutant, vice-présidente du Conseil régional en charge de la transition énergétique et du climat, animeront le 8ème Comité régional des acteurs du Conseil permanent de la transition énergétique et du climat (COPTEC), ce lundi 22 juin à 14h, à l’Hôtel de Région de Bordeaux (salle plénière).
Le thème : « Vers l’autonomie énergétique des territoires : SEM, SCIC, Sociétés citoyennes de production, … les nouveaux acteurs de la production locale d’énergie renouvelable en Nouvelle-Aquitaine », s’inscrit dans la Feuille de route NéoTerra par les Ambitions suivantes: Favoriser l’engagement citoyen pour accélérer la transition écologique, Accélérer la transition énergétique et écologique des entreprises de Nouvelle-Aquitaine et Construire un nouveau mix énergétique. De plus, il concrétise le volet Climat-air-énergie du SRADDET (Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires), adopté fin 2019.
La décentralisation de l’énergie est un enjeu économique et social. C’est aussi une opportunité stratégique, comme le souligne la Commission européenne dans le cadre de ses différentes consultations en cours sur l’énergie. Décarbonation de l’énergie, synergies entre secteurs comme l’électricité, le gaz, les transports, les bâtiments et l’industrie, plus grande utilisation des gaz renouvelables et décarbonés à l’image de l’hydrogène et du biométhane, système énergétique circulaire, communautés énergétiques locales… sont autant de priorités qui confortent la volonté régionale de valoriser localement, avec les habitants, les communes et les entreprises, la diversité des énergies renouvelables de Nouvelle-Aquitaine.
Le COPTEC publiera, à cette occasion, la première carte régionale des SEM, SAS et sociétés citoyennes de production d’énergies renouvelables. En effet, la Nouvelle-Aquitaine est, depuis quelques semaines, la première région française entièrement couverte par des sociétés locales pour développer en proximité la transition énergétique.
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10 chiffres chocs : déconfinement et achat immobilier @Journal_Agence
Source : Journal de l’agence

53% des futurs acheteurs déconfinés font de l’accès internet une priorité !
Les crises bouleversent les comportements et font évoluer les mentalités. Mais concrètement, en quoi la perception qu’ont les acquéreurs du marché immobilier post-Covid a-t-elle été altérée? Comment voient-ils le « Monde d’Après » ? Une enquête réalisée par SeLoger et son Observatoire du Moral Immobilier (OMI) répond à ces questions en s’appuyant sur la perception de plus de 2500 futurs acheteurs interrogés lors de la première semaine du déconfinement. ...lire la suite...
Quelles solutions digitales & financières pour les organismes de logement social ? @SCET_Groupe

Source : SCET
Organisées par la SCET & sa filiale Aatiko-Conseils, les inscriptions aux Rencontres des décideurs du logement social – programmées dans un format en ligne le 23 juin 2020 de 14h30 à 16h – sont ouvertes.
Au programme : avec la crise sanitaire, après la crise, quelles solutions digitales & financières pour les organismes de logement social ? … avec en avant-première la restitution d’un benchmark réalisé par la SCET auprès de plusieurs collectivités & bailleurs pendant la période de confinement induite par la crise sanitaire, et en exclusivité des échanges interactifs avec Aatiko-Conseils autour des leviers digitaux et financiers.
Cette journée sera introduite par Jean-Christophe HIVERNAT, référent logement social à la SCET, Directeur Général de la SEMIR et Grégoire CASTAING, Directeur Général Adjoint de la SCET et Président d’Aatiko Conseils.
Elle sera organisée en trois séquences :
- Séquence 1. Benchmark de solutions numériques au service de l’habitat par Marlène LE GUIET, Consultante senior, Pôle projet de territoire à la SCET
- Séquence 2. Requestionner la place des Systèmes d’Information dans vos organisations : un exemple concret à travers les projets de mutualisation des systèmes d’information animé Pierre-Louis ROUSSEL, Directeur général délégué d’Aatiko Conseils
- Séquence 3. Gestion de trésorerie et financement des projets après la crise : la mobilisation des outils financiers parGrégoire CASTAING, Directeur général adjoint de la SCET, Président d’Aatiko-Conseils
Cœur de ville : Découvrez les interventions d’Action Logement – La parole à V Lizarzaburu et JM Royo @cmarkea
Découvrez dés à présent le témoignage de Vera Lizarzaburu, Directrice du programme Action Cœur de ville et
Jean-Michel Royo, Directeur général, Action Logement Services
Extrait de témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection réalisée par Arkea Banque E&I « Regards » en cours d’achèvement : en savoir plus sur la démarche : ICI
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« LA PERFORMANCE DES ENTREPRISES ET L’ATTRACTIVITÉ DES TERRITOIRES SONT INTIMEMENT LIÉES À UNE OFFRE DE LOGEMENT QUALITATIVE. »
Au travers du programme national Action Cœur de ville dont il est partenaire aux côtés de l’État, Action Logement finance les bailleurs publics – et pour la première fois les investisseurs privés – participant à la revitalisation des villes moyennes. Son objectif : mettre de nouveaux logements à disposition des salariés dans un cadre de vie optimisé de centre-ville. Vera Lizarzaburu, directrice du programme Action cœur de ville, et Jean-Michel Royo, directeur général d’Action Logement Services, nous expliquent.
Depuis plus de 65 ans, la vocation du groupe Action Logement est de faciliter l’accès au logement pour les salariés, notamment les jeunes, actifs ou en formation, et les salariés en mobilité. À ce titre, l’organisme paritaire accompagne les bailleurs sociaux pour développer leur parc locatif par l’emploi des fonds collectés auprès, désormais, des entreprises de plus de 50 salariés. En contrepartie de ses financements, Action Logement obtient le bénéfice de réservations locatives dans les programmes financés, qui sont mises à disposition des salariés du secteur privé. « Par là même, nous sommes au cœur de notre première mission, qui est d’aider les entreprises à attirer les talents et à fidéliser leurs salariés, précise Jean-Michel Royo. Action Logement cherche ainsi à soutenir les territoires qui, pour certains, connaissent une belle dynamique économique mais peinent à attirer des salariés, et notamment des cadres, dans des secteurs où le parc de logements n’est pas suffisamment qualitatif. Cela peut être le cas aux Herbiers, où le taux de chômage est deux fois moins élevé qu’au niveau national, ou à Agen qui a du mal à faire venir vivre les cadres. »
C’est pourquoi le groupe s’est engagé aux côtés de l’État dans le programme Action Cœur de Ville, qui permet aux villes sélectionnées de renforcer l’attractivité de leur centre-ville en activant les différents leviers à leur disposition : aménagement, commerces, équipements, etc. Action Logement concourt au volet habitat du dispositif en les accompagnant dans la confortation de leur attractivité résidentielle. Il mobilise ainsi 1,5 milliard d’euros sur cinq ans au bénéfice de projets d’opérateurs, de bailleurs sociaux et d’investisseurs privés, sous forme de prêt et de subvention, pour 96 développer une offre de logements rénovés, nous y reviendrons.
Dans ce cadre, Action Logement finance la production d’une large gamme de logements : locatif social ou intermédiaire, logement locatif privé soumis à plafond de loyer et même accession sociale à la propriété, pour s’adapter aux besoins locaux tout en pensant la diversification de l’offre. Avec pour prérequis de travailler uniquement sur des immeubles entiers, donc sur les
parties privatives des logements et sur les parties communes des immeubles, afin d’assurer l’homogénéité de traitement et de susciter un véritable effet levier grâce à des opérations d’ampleur.
« Action Logement intervient de longue date dans le soutien de politiques publiques en finançant largement le PNRUpuis le NPNRU[1] à travers l’ANRU[2] par exemple. Mais c’est la première fois, note Vera Lizarzaburu, que nous portons en propre, aux côtés de l’État, l’un des principaux axes d’une politique publique d’envergure. Le financement que nous proposons dans le cadre de ce programme est également assez atypique. Tout d’abord parce que nous élargissons notre clientèle traditionnelle, essentiellement les bailleurs sociaux, à des propriétaires-bailleurs privés, ensuite parce que les financements attribués et le volume de subventions sont fonction de la complexité et de l’ambition de chacune des opérations. »