Archives du 27 Mai 2020

« Bâtir la relance du secteur immobilier » – Editorial de la Présidente FPI @fpi_fr @A_FrancoisCuxac

Source : FPI France

Avec le déconfinement, nous ne pouvons toujours pas faire de réunions de famille, mais – et c’est tout comme – nous pouvons au moins retrouver nos clients : les accueillir dans nos bulles de vente et nos agences, les aider à faire mûrir leurs projets, les accompagner dans leurs démarches. Ce lien direct avec le client particulier, c’est ce qui nous distingue de la plupart des autres parties prenantes de l’immobilier neuf : l’Etat, les collectivités locales, le BTP, les maîtres d’œuvre etc.

Vendre 130 000 logements par an à des particuliers nous donne une vraie légitimité pour parler du marché.

Ce marché repose d’abord sur la confiance, et c’est sur cette confiance que nous pourrons bâtir la relance de notre secteur.

Bien sûr, elle est fragilisée par deux mois de confinement : on parle de retards et de surcoûts de chantiers, ou d’une baisse des prix qui menacerait l’investissement immobilier. Beaucoup de ménages doivent se poser des questions, et ils ont raison de le faire. A nous de leur apporter les bonnes réponses, pour recréer cette confiance.

Il ne s’agit pas seulement de leur rappeler les avantages de l’achat d’un logement neuf, au premier rang desquels la VEFA dont on se dit décidément à chaque crise que c’est un héritage inestimable de nos prédécesseurs. Il s’agit aussi de dire à nos clients « vous êtes dans le vrai, et vous frappez à la bonne porte ».

« Vous êtes dans le vrai », parce que le logement vertueux et résilient, c’est bien celui que nous produisons. Il est économe en énergie, verdi, végétalisé, connecté, et il donne accès à toute une gamme de services urbains. Dans un pays où le salaire médian est à 1800 € net/mois, tout le monde ne peut pas se projeter sur la maison secondaire et le grand jardin pour le prochain confinement …

« Vous frappez à la bonne porte », parce que cette crise nous oblige et nous mobilise comme jamais, au service de nos clients. Jamais nous ne nous serons autant battus, sous la pression des événements, pour contenir au maximum les délais de livraison et pister les risques de non-qualité. Jamais nous n’aurons transformé, en si peu de temps, notre relation client : la digitalisation du parcours de l’acheteur aura accompli en deux mois autant de progrès qu’en deux ans !

Pendant le confinement, nous avons consacré beaucoup de temps et d’énergie à nos entreprises du BTP, nos maîtres d’œuvre, nos CSPS, nos notaires ou nos banquiers … L’heure est maintenant venue de replacer nos clients au cœur de nos préoccupations : il faut que la crise nous pousse à leur donner le meilleur de nous-mêmes et de nos entreprises. Pour avoir confiance dans l’immobilier, ils doivent d’abord avoir confiance en nous.

Alexandra François-Cuxac

Présidente FPI France

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La Fédération des Epl présente sa contribution pour la reprise de l’activité @FedEpl

Source : lesepl.fr

 

Depuis le début de la crise liée au Covid-19, la Fédération des Epl est en contact permanent avec les pouvoirs publics afin de permettre aux Epl de prendre toute leur part dans la sortie de crise et de bénéficier des nombreuses aides déployées par l’Etat. C’est dans la continuité de ces échanges que le Président Jean-Marie Sermier a transmis une note au Premier ministre, Edouard Philippe, et à ses interlocuteurs habituels auprès des différents ministères, intitulée « Contribution de la Fédération des Epl pour la reprise de l’activité ». Plusieurs pistes y sont explorées pour optimiser l’apport des 1 310 Epl hexagonales à la reprise économique, grâce à la souplesse d’intervention qui les caractérise, au plus près des besoins des territoires.

Assurer le recours au dispositif de mise en activité partielle

Pour relever ce défi, le fonctionnement même des Epl doit être sécurisé. Le document insiste sur « l’urgence de la réouverture du dispositif de mise en activité partielle à l’ensemble des Spl et des Sem » dont elles ont été exclues suite aux dispositions de l’article 6 de l’ordonnance n° 2020-460 portant diverses mesures prises pour faire face à l’épidémie de Covid-19. « Certaines structures désormais exclues de ce dispositif avaient pourtant déjà obtenu des accords de la part des DIRECCTE pour placer leurs salariés en activité partielle. Ces accords de principe qui portent sur des périodes allant du mois d’avril à la fin du mois de juin de l’année 2020 ne manqueront pas de susciter massivement des contentieux en cas de confirmation de ce retour en arrière », peut-on lire dans la note.

Ouvrir en même temps tous les secteurs d’activités de la filière tourisme    …lire la suite…

Reprise des des chantiers de Paris Habitat @Paris_Habitat

Source  : Paris Habitat

Paris Habitat a préparé, en lien notamment avec les entreprises et les Coordinateurs Sécurité et Protection de la Santé des opérations, les conditions d’une reprise des chantiers.
Paris Habitat va privilégier la reprise des opérations neuves ou pour les programmes de réhabilitations, les travaux dans les locaux vacants, les espaces extérieurs afin de limiter les interactions avec les locataires.
Tour d’horizon des principales mesures.

Maintenir l’exigence de qualité et durabilité de nos travaux

Le logement social doit en effet continuer de jouer un rôle protecteur de ses habitants. « Cette crise a mis en exergue combien Paris Habitat jouait un rôle d’amortisseur des crises en accompagnant les plus fragiles d’entre nous. Dans le cadre des opérations d’amélioration du cadre de vie, nous n’avons pas attendu cette crise pour fixer des objectifs de développement durable, pas seulement en termes de diminution des consommations énergétiques, mais aussi de qualité des matériaux respectueux de l’environnement et de la santé des locataires. » À travers, le programme de réhabilitation des HBM, c’est aussi une volonté d’améliorer la qualité d’usage des logements, en venant les restructurer, les adapter aux attentes des ménages. « Cette pandémie a mis en évidence les difficultés de vivre confinés en famille dans des logements trop petits »

Hélène Schwoerer, directrice adjointe en charge de la maîtrise d’ouvrage et du développement à Paris Habitat

1 000 cafés pour redonner vie à des communes rurales, une initiative lancée par le Groupe SOS @GroupeSOS

 

Découvrez dés à présent le témoignage de Chloé Brillon Directrice de projets, Groupe SOS  –

Extrait de témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection réalisée par Arkea Banque E&I « Regards » en cours d’achèvement : en savoir plus sur la démarche : ICI

1 000 cafés… 1 000 lieux pour redonner vie à des communes rurales et faire revenir des commerces et des services de proximité qu’elles ont perdus. 1 000 cafés, un projet porté et financé par le Groupe SOS, première entreprise d’intérêt général européenne qui lutte depuis 35 ans contre toute forme d’exclusion. Chloé Brillon, directrice de projets, nous raconte.

Le constat est venu de cette fracture territoriale vécue dans les petites villes et villages du milieu rural qui perdent leurs commerces depuis des années. Plus de 60 % des communes de moins de 3 500 habitants n’en ont même plus du tout. Ce qui génère un sentiment d’abandon, et parfois cette impression de vivre dans des villages dortoirs où les espaces de sociabilité n’existent plus et où les contraintes liées à la mobilité accentuent l’isolement. Une étude du Conseil d’analyse économique de janvier 2020[1] a d’ailleurs mis en évidence le lien entre le mécontentement et le mal-être d’une partie de la population et la disparition des services collectifs : si les évolutions économiques jouent un rôle important, c’est également le cas de la perte des équipements – notamment du dernier commerce, des secteurs de l’éducation, de la santé et de la culture –, qui semble participer à une anxiété plus poussée et à une mobilisation dans le mouvement des Gilets jaunes. A contrario, lorsque le tissu associatif local est plus dense, les expressions de mécontentement sont plus rares.

Pour autant, selon Chloé Brillon, « ces territoires représentent aussi un beau potentiel. 32 % de la population réside dans une commune de moins de 3 500 habitants, et différentes études font ressortir leur véritable attachement à cet environnement rural et à sa qualité de vie. Elles montrent l’envie des habitants de voir revivre ou de créer des espaces de sociabilité. Et le meilleur vecteur pour faire vivre du lien, c’est évidemment le café. »

De cet état des lieux est née l’initiative 1 000 cafés, lancée par le Groupe SOS. Le projet consiste à ouvrir des cafés proposant des services complémentaires, 1 000 espaces si possible, plus même selon le souhait de son président, Jean-Marc Borello, afin de faire revivre le lien social dans le milieu rural.

Pourquoi un café ?  …lire la suite…

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