Archives du 7 Mai 2020
Télétravail : les bonnes pratiques en Coop’Hlm @lesCoopHlm
Source : les Coop’ HLM

Pratiques et conseils sur le télétravail
En cette période de pandémie, plus que jamais le télétravail est le mode d’organisation qui permet d’assurer une continuité de l’activité en dehors des locaux de l’entreprise, et permet de ce fait de respecter l’obligation de confinement auxquels les citoyens sont soumis.
Pour assurer la continuité de l’activité, les Coop’Hlm ont été nombreuses à mettre en place le dispositif de télétravail.
Les partenaires sociaux de la branche, soucieux de la démarche, souhaitent l’accompagner en mettant à disposition des salariés le présent guide de pratiques et conseils sur le télétravail.
PROCIVIS intègre la maquette numérique pour favoriser le programme Action Cœur de ville @cmarkea #BIM @PROCIVIS
Découvrez dés à présent les témoignage de Franck Petit, Directeur de l’habitat neuf, PROCIVIS Immobilier
et Fabio Mastroianni, Directeur délégué aux filiales et promotion immobilière PROCIVIS Eure et Loir
Extrait de témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection réalisée par Arkea Banque E&I « Regards » en cours d’achèvement : en savoir plus sur la démarche : ICI
Franck Petit Directeur de l’habitat neuf, PROCIVIS Immobilier Fabio Mastroianni Directeur délégué aux filiales et promotion immobilière PROCIVIS Eure et Loir
Spécialiste historique de l’accession sociale à la propriété depuis plus de cent ans, le réseau PROCIVIS est aujourd’hui présent sur tous les métiers de l’immobilier : construction de maisons individuelles, promotion immobilière, administration de biens et gestion de logements sociaux. L’essence coopérative des sociétés du réseau lui confère une place originale dans le secteur immobilier ; ce modèle atypique leur permet en effet de réinvestir leurs bénéfices dans le développement de tous les métiers de l’immobilier et dans des missions sociales au profit des ménages modestes. « Il s’agit d’un cercle vertueux dans lequel nos dividendes sont sanctuarisés au sein du réseau, sans redistribution, avec une partie consacrée au développement et une autre réinjectée dans des missions sociales, explique Franck Petit, en soutien des propriétaires occupants ou copropriétaires les plus modestes, ou encore dans des projets qui accompagnent la politique gouvernementale. » Ce réseau de promoteurs, de constructeurs et d’aménageurs fonciers produit près de 8 000 logements neufs par an, avec un objectif de 10 000 logements d’ici 2022. De son côté, PROCIVIS Logement Social, nouvellement créé, produit 1 500 logements neufs par an et gère un peu plus de 40 000 logements en tant que bailleur social. Les filiales sont autonomes, elles doivent simplement répondre à des obligations d’intérêt public général. « Nous n’avons pas exclusivité à produire du logement social. Nous devons produire du logement pour tous, dans toutes les régions, sur tout type d’habitat, et ce dans les contraintes de chaque marché local. Nos promoteurs immobiliers ont donc vocation à produire un marché conforme à leur marché, et en se positionnant vis-à-vis de la concurrence. »
LES MARCHES RATTRAPES PAR TRUMP – Point marché #salledesmarchésarkea @cmarkea
En attaquant frontalement Pékin au sujet de sa responsabilité dans la propagation internationale du Covid-19, le Président américain tempère le vent d’optimisme qui berce les marchés depuis plusieurs semaines. Washington affirme disposer de preuves démontrant que ce virus a été « créé par l’homme » et qu’il proviendrait d’un laboratoire de cette même ville, ce qui mène Donald Trump à menacer la Chine de mesures de rétorsion, telles que des hausses de tarifs douaniers. Si la question de la gestion chinoise de la crise paraît légitime, celle de la crédibilité de ces nouvelles déclarations est également posée dans la mesure où (i) aucun détail sur ces preuves n’a été dévoilé et que (ii) la principale agence d’espionnage américaine dément ces affirmations, en concédant que ce virus ne semble pas être d’origine humaine ou génétiquement modifié. De plus, (iii) l’attaque frontale de la Chine constitue une stratégie électorale récurrente de Donald Trump, dont la politique sanitaire est largement critiquée, alors que les Etats-Unis comptent désormais près de 65 000 morts liés au virus. La perspective de l’élection présidentielle de novembre inciterait d’autant plus le Président américain à durcir le ton.
Les marchés ont en effet bénéficié en avril de la promesse de politiques monétaires durablement ultra-accommodantes et, plus récemment, d’un mouvement global de déconfinement ainsi que l’émergence d’un espoir thérapeutique. Les conclusions des réunions de politiques monétaires de la Réserve fédérale américaine (Fed) et de la Banque centrale européenne (BCE) n’ont pas surpris en maintenant notamment leurs taux directeurs inchangés. Les autorités monétaires ont affirmé leur volonté de recourir à l’ensemble des outils à leur disposition, jusqu’à la dissipation totale des effets négatifs de cette crise sanitaire. La Fed a notamment souligné l’importance des risques à moyen terme, bien au-delà de la durée de la pandémie. Du côté de la BCE, les seules nouvelles annonces concernent l’amélioration des conditions de financement pour les banques empruntant des liquidités à long terme pour favoriser le crédit (TLTRO) et le lancement d’un nouveau dispositif de prêt aux banques, les « opérations de refinancement à long terme d’urgence pandémique » ou PELTRO. Par ailleurs, l’espoir d’un traitement efficace contre le Covid-19 a contribué à la baisse de l’aversion pour le risque, après les informations du groupe pharmaceutique Gilead Sciences sur son antiviral expérimental Remdesivir. Pourtant, face à cet optimisme, les indicateurs économiques ne cessent de souligner l’ampleur inédite du choc économique, dont les conséquences devraient perdurer bien au-delà du confinement. En effet, la publication des PIB dans plusieurs pays avancés, dont la France et les Etats-Unis, a révélé des coups d’arrêts inédits sur les économies, alors même que les mesures de confinement sur cette période concernent bien souvent moins d’une dizaine de jours ouvrés. Ces résultats et les premiers indicateurs avancés du mois d’avril laissent entrevoir un deuxième trimestre très largement historique.
« galères » et difficultés quotidiennes des Français : évolution du tableau de bord réalisé par @blog_domplus
Source : Priorité à la personne
DOMPLUS des « galères » et difficultés des Français
Depuis le 17 mars 2020, les conseillers en intermédiation de Domplus ont écouté et accompagné plus de 24.000 Français. Ce Tableau de bord décrit
et analyse leurs émotions, besoins et inquiétudes spécifiques face aux difficultés qu’ils éprouvent pendant le confinement.
Les remontées de la première phase (17 mars – 13 avril) ont permis de constater que les soucis économiques et les inquiétudes salariales se situaient
en tête des préoccupations quotidiennes de nos concitoyens, nettement devant les questions de santé. Les conseillers signalaient également l’émergence
d’un sentiment de colère encore diffus, notamment face aux décalages entre l’annonce des mesures et la complexité des modalités pratiques de leur mise en
oeuvre, devant lesquelles les personnes se sentent seules.
Depuis le 13 avril et l’annonce d’un début de déconfinement le 11 mai, on observe une multitude de nouvelles « galères » pratiques, notamment en lien avec
les questions d’organisation et de travail, mais aussi avec la gestion du budget (autour de la fin du mois d’avril). S’agissant des émotions qui remontent
du terrain, il est à noter que si la peur reste prédominante (pour l’emploi notamment), elle se conjugue de plus en plus souvent avec un sentiment de colère
qui s’exprime par de l’exaspération.
Cette deuxième édition du Tableau de bord permet aussi de repérer des distinctions nettes entre actifs et retraités, ces derniers se focalisant principalement
sur des questions pratiques d’organisation quotidienne, dans une perspective de semi-confinement prolongé.
Julien Denormandie : « L’immobilier jouera un rôle capital lors du déconfinement » @SeLoger @Min_Territoires @J_Denormandie
Source : Se loger

Face à notre journaliste, Julien Denormandie, le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, revient sur l’impact qu’a provoqué la crise du Covid-19 sur le moral des acheteurs, vendeurs et investisseurs locatifs. Un entretien exclusif.