Créer de la valeur pour nos clients par l’échange et la collaboration, est un engagement fort des équipes d’Arkéa banque Entreprises et institutionnels. Parmi les initiatives développées, nous faisons paraître chaque année un ouvrage – recueil de témoignages sur les belles pratiques des acteurs de la ville et de l’immobilier. Le thème du livre Regards 2020 est « Action Cœur de Ville ».

La crise sanitaire que nous traversons a mis en évidence l’importance des services et activités économiques de proximité. Action Cœur de Ville reste donc un thème particulièrement d’actualité qu’il faut garder à l’esprit dans les mesures favorisant le rebond de nos villes et territoires.

Rappelons que 222 villes sont bénéficiaires du plan national « Action Cœur de Ville ».  Les initiatives retenues répondent à une double ambition : améliorer les conditions de vie des habitants des villes moyennes et conforter le rôle de moteur de ces villes dans le développement du territoire.

Depuis le début de la crise sanitaire du COVID-19, Arkéa Banque E&I est pleinement mobilisé pour assurer la poursuite de ses activités essentielles et répondre aux attentes de ses clients impactés par les conséquences économiques majeures de la pandémie.

Habituellement, les ouvrages de la collection Regards sont diffusés à l’occasion du speed dating de l’immobilier, rencontre annuelle qui regroupent 600 professionnels de ce secteur. Considérant les enjeux et la situation exceptionnelle que nous vivons, nous avons tenu à partager sans attendre de très belles initiatives en dévoilant, dés cette semaine et progressivement les 19 témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection Regards en cours d’achèvement.

Nous tenons encore à remercier l’ensemble de nos témoins : 

• Bernard BLETTON(DG Délégué) et Vincent FUSTER (Président) / SEDIA (SEM de Besançon)
• Chloé BRILLON/ Groupe SOS (Directrice projet)
• Emmanuel LE ROCH/ PROCOS, Fédération pour la promotion du commerce spécialisé (DG)
• Franck PETIT(Directeur de l’Habitat Neuf) et Fabio MASTROIANNI (Directeur de Pierre et Territoires de France 28) / Groupe PROCIVIS
• Frédéric GABERT/ SPL Pays de Grasse Développement (Directeur)
• Frédéric MARQUET/ Ville de Mulhouse (Manager des commerces)
• Ghislain DECOBECQ/ Mutuelle Just’ (DG)
• Jean-Hubert MOITRY(Président) et Stéphane JEAN (Directeur de Codif) / Foncière Patrimonia
• Jean-Michel ROYO(DG) et Véra LIZARZABURU (Directrice programme « Action Coeur de Ville ») / Action Logement Services
• Marie-Céline CAZAUBA/ SEPA (Société d’Equipement des Pays de l’Adour) (Directrice)
• Michel DANTIN/ Ville de Chambéry (Maire)
• Pascal MASSON/ Société Keredes (DG)
• Philippe BUISSON/ Ville de Libourne (Maire)
• Pierre RUELLO/ Groupe Demeter (DG)
• Rollon MOUCHEL-BLAISOT/ Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (Préfet et Directeur national du programme « Action Coeur de Ville »)
• Thierry COTILLARD/ Intermarché et Netto (Président)
• Valérie LASEK/ ANCT (Agence Nationale de la Cohésion des Territoires) (Directrice générale déléguée adjointe à l’appui opérationnel et stratégique)
• Vincent BOUGAMONT(DG) et Vanessa BECUWE (Responsable programme Tourcoing Centre-ville) / La Fabrique des quartiers
• Yves MOLINA/ Groupe SERL (Directeur Général Délégué)

Rédaction Alexandra Poloce

Source : Hauts-de-Seine Habitat

Afin d’anticiper et d’amortir les conséquences économiques et sociales provoquées par la crise sanitaire, Hauts-de-Seine Habitat lance un ambitieux appel à projet intitulé, « Bâtissons la reprise ! » avec pour objectif 1000 logements en 2 ans.

Hauts-de-Seine Habitat entend ainsi faciliter les conditions de la reprise économique autour de l’ensemble de ses partenaires, tout en continuant de renforcer son offre de logements sociaux afin d’éviter le décrochage social de nombre de nos concitoyens.

Le Président, Christian Dupuy explique : «Nous savons que les collectivités locales, par leurs investissements, et le secteur du bâtiment constituent des bases essentielles de la reprise économique. La dernière crise l’avait d’ailleurs démontré s’il en était besoin. C’est la raison pour laquelle, plus encore dans le contexte actuel, l’office, premier bailleur social du Département, doit pleinement jouer son rôle, en poursuivant son engagement et sa mobilisation au service des communes mais aussi auprès de la filière du bâtiment et, à travers elle, de ses propres locataires et de ceux nombreux, qui aspirent à le devenir ».

Par cet appel à projet, Hauts-de-Seine Habitat veut susciter et prendre en charge les opérations de constructions de logements sociaux et intermédiaires, participer à la relance de l’activité immobilière et au soutien de l’ensemble de la filière du bâtiment.

L’Etablissement entend apporter son soutien à l’ensemble des acteurs de la filière du bâtiment durement impactés par la crise sanitaire : communes, intercommunalités, promoteurs, entreprises de travaux publics etc. Les communes des Hauts-de-Seine et des départements limitrophes seront invitées à flécher des opérations en lien avec les partenaires, notamment les promoteurs et aménageurs.

Damien Vanoverschelde, le Directeur général précise que « Ce plan et ses objectifs sont parfaitement réalisables parce que l’office est un opérateur immobilier solide, reconnu comme tel, disposant encore de réelles capacités financières, et qui sait pouvoir compter sur l’appui de partenaires financier pour l’accompagner dans cette montée en puissance et soutenir de nombreux projets ».

Hauts-de-Seine Habitat étudiera tous les projets de programmes en VEFA, en pleine propriété ou en démembrement, et en maîtrise d’ouvrage directe sur des fonciers identifiés pouvant bénéficier rapidement d’un permis de construire, mais également les projets d’acquisition-amélioration ou encore de reconfiguration de bâtiments pour transformation en logements.

Hauts-de-Seine Habitat participera à la stabilisation du marché locatif par le biais de produits diversifiés : logements sociaux familiaux, intermédiaires et résidences spécifiques. Il s’agit ainsi de continuer d’accroître l’accès à un logement et faciliter le parcours résidentiel pour celles et ceux qui dans le contexte actuel risquent de décrocher socialement.

« Cet appel à projets « Bâtissons la reprise !» s’inscrit dans notre volonté de continuité d’accompagnement des différents projets de territoire. C’est également l’occasion de réaffirmer que l’humain est au coeur des valeurs de Hauts-de-Seine Habitat », ajoute le Président Christian Dupuy.

> En savoir plus sur l’appel à projets

Source :  Région Ile de France

Les gestes barrières à respecter, les conditions à remplir pour se déplacer en règle, les commerces essentiels, les réflexes à avoir en cas de symptômes ou de contact prolongé avec un malade, en cas d’urgence…

Les transports en commun ne doivent être utilisés que pour aller au travail et seulement si la présence physique y est indispensable. Les déplacements interurbains doivent être évités au maximum.

RATP

Après une forte baisse, la RATP a augmenté un peu son trafic le 27 avril 2020.

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Source : GALIVEL

Pour le président de BARNES, l’immobilier de prestige a prouvé sa solidité et son statut de valeur refuge alors que se profile le déconfinement en France : « Le déconfinement débutera en France de manière progressive à partir du 11 mai prochain. Il est encore prématuré de prévoir comment et à quel rythme le marché immobilier se relancera après ces deux mois d’activité réduite. Nous rencontrerons sans doute une période de sidération, autant du côté des vendeurs que des acheteurs, suivie d’une reprise qui dépendra de la conjoncture économique et des autorisations de déplacement pour motif professionnel.

Mais l’immobilier de prestige, marché dont BARNES est une référence depuis plus de 25 ans, a prouvé sa résilience et joue plus que jamais son rôle de valeur refuge ».

• Sur le plan financier tout d’abord. Alors que de réelles incertitudes planent sur les valeurs financières, monétaires et mobilières au niveau international, l’immobilier s’impose par sa stabilité et sa sécurité à moyen et long terme. A condition bien sûr d’investir dans un bien sans défaut situé au bon endroit (nous ne pouvons que répéter l’importance des 3 critères de choix lorsqu’il s’agit d’immobilier : l’emplacement, l’emplacement et l’emplacement).
• A cet aspect financier est venu s’ajouter, lors de la crise médicale et sanitaire que traverse actuellement la planète, un deuxième atout qui plaide en faveur de l’immobilier de prestige : au refuge financier s’ajoute un refuge « réel », c’est-à-dire ce lieu où l’on va se réfugier entouré de ses proches lorsque la situation l’oblige. Il est désormais impératif que ce bien soit de grande qualité, surtout qu’il va devenir un véritable bureau annexe alors que la digitalisation de nombreux métiers a rendu possible un télétravail au long cours.

En France comme à l’étranger, les semaines et les mois à venir engendreront des ventes de nécessité. Certains propriétaires auront des besoins de liquidités pour faire face à une situation imprévue. Nous anticipons des négociations pouvant aller jusqu’à 10% du prix de vente initialement affiché. L’ensemble des bureaux du réseau BARNES reçoit ainsi de nombreuses marques d’intérêt de la part d’investisseurs prêts à se positionner rapidement sur de belles opportunités à Paris, Bordeaux, Lyon, Cannes, St Tropez, St Barth, Miami ou New York…

Une crise qui ne ressemble pas aux précédentes – Le retour d’expérience de BARNES

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Source : Ministère de la cohésion des territoires

Dans la continuité de l’ordonnance du 15 avril, la nouvelle ordonnance vient apporter de la visibilité aux acteurs du secteur du BTP et de l’immobilier : concernant les copropriétés, elle permet de prendre en compte les contrats de syndics devant être renouvelés jusqu’au 30 juin pour les prolonger jusqu’à la prochaine assemblée générale. Par ailleurs, elle élargit les dispositions concernant les délais d’instruction des autorisations d’urbanisme aux autorisations de travaux et autorisations d’ouverture liées aux règles de sécurité incendie et d’accessibilité des établissements recevant du public et des immeubles de grande hauteur.

L’ordonnance présentée ce 22 avril 2020 en Conseil des ministres vient compléter les précédentes ordonnances du 25 mars et du 15 avril 2020 sur plusieurs points spécifiques :

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