Petits espaces : habiter le pas de la porte ? @Demain_la_Ville

    Source : demainlaville.com

Coincé entre la porte de l’habitat et le trottoir, cet espace intermédiaire est dans certains cas « habité » par ses propriétaires ou locataires, au même titre qu’un bout de salon ou un morceau de cuisine…

La ville détermine les seuils

Parfois, entre l’espace privé du logement et la rue, un lieu exigu à habiter se dessine : une petite marche où s’asseoir, un escalier à occuper, une barrière où s’adosser, des recoins à décorer, un rebord où s’accouder. Plus cet interstice sera grand, plus les citadins-habitants auront la possibilité ou l’envie de s’y arrêter, pour discuter avec le voisinage, observer et écouter la rue bourdonner, ou simplement prendre l’air. Dès lors, c’est une pratique que certaines villes et cultures permettent ou interdisent par différents biais.

La première extension de la maison

Dans les cas anglais et américains susmentionnés, la réappropriation de l’espace intermédiaire entre l’intérieur et l’extérieur est facilitée, rendue possible par la présence de cette portion de bâti surélevée, par essence séparée de la rue. On a tous en tête ces marches new-yorkaises où le voisinage joue aux cartes, discute, et où s’entreposent pendant les fêtes têtes de citrouilles et autres guirlandes lumineuses…

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Publié le 12 avril 2017, dans Habitat, et tagué , , . Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.

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