Archives d’Auteur: Alexandra Poloce
Un guide numérique sur la convention BIM @UnionHLM
Source : Union Sociale pour l’Habitat

À la suite de son Comité exécutif, réuni mercredi 11 mars, l’Union sociale pour l’habitat appelle l’ensemble des candidates et des candidats aux élections municipales à fair
Pour accompagner les bailleurs sociaux dans leur réflexion sur le BIM et la rédaction d’une convention type, l’USH publie un guide méthodologique numérique sous forme de questions-réponses, Tout savoir sur le BIM : la convention BIM. Il formalise les réflexions partagées au sein du groupe de travail BIM de l’USH et répond aux interrogations des organismes, parmi lesquelles : qu’est-ce qu’une convention BIM ? Quand doit-elle être rédigée et par qui ? Que demander au stade remise d’offre ? Le MOA doit-il signer le document ?, etc. Une seconde partie sous forme d’annexes propose 16 cas d’usage, qui peuvent être rencontrés lors d’un projet (modélisation des objets, production des livrables, gestion des ouvrages et équipements…).
Pour mémoire, la convention BIM formalise les relations entre les différents acteurs d’un projet : elle décrit les dispositions communes et générales, rappelle les attentes du maître d’ouvrage, définit les usages du BIM pour le projet, fixe les règles concernant l’utilisation du BIM et précise l’organisation mise en place et le rôle de chaque acteur. La convention BIM type a été élaborée par le Plan de transition numérique du bâtiment, en partenariat avec les professionnels.
Pour en savoir plus :
https://www.union-habitat.org/centre-de-ressources/patrimoine-maitrise-d-ouvrage/guide-tout-savoir-sur-le-bim-la-convention
Revitalisation des centres-villes : l’impact de la crise covid-19 @SCET_Groupe

Source : SCET
Au-delà de sa dimension sanitaire, la crise provoquée par la covid-19 a des conséquences économiques, sociales et environnementales dont l’impact risque d’être majeur pour les villes moyennes, nombre d’entre elles étant déjà fragilisées par les ajustements des dernières décennies.
Qu’en sera-t-il de leurs centres-villes, facteur essentiel de renouveau ? Touchés de plein fouet durant la période de confinement, les commerces de proximité ne vont-ils pas subir un nouveau recul, amenant à repenser les programmes en cours tels qu’Action Coeur de Ville ? Dans le même temps, des évolutions se sont accélérées à la faveur du confinement : c’est le cas du numérique qui a d’ores et déjà modifié les comportements (télétravail, commerce en ligne) et dont la généralisation pourrait constituer un atout pour les villes moyennes et les petites centralités.
Répondre à l’urgence, mais aussi, d’ores et déjà, préparer l’avenir : c’est le sens du plan de relance récemment annoncé par le gouvernement. C’est également le parti pris de ce nouveau Tendances publié par la SCET qui analyse les conséquences de cette crise et propose 4 leviers pour y remédier, avec une conviction renouvelée : les villes moyennes et les petites centralités garderont toute leur pertinence dans l’écosystème territorial français si elles réussissent leur transition vers une meilleure résilience économique, sociale et environnementale.
Pour en savoir plus, téléchargez notre revue Tendances #7 « Revitalisation des centres-villes : l’impact de la crise covid-19 » en cliquant ICI
Interview de Stéphane Keïta, PDG de la SCET pour France Urbaine @SCET_Groupe
Rencontre avec Stéphane Keïta, président-directeur général de la SCET.
Frappée au sceau de la recherche du bien public et de la valorisation durable des
territoires, la SCET veut répondre aux urgences et aux exigences de son temps, en
privilégiant les objectifs innovants et les pratiques collaboratives, au service des grandes
transitions écologique, énergétique, numérique.
A quels enjeux répond la SCET ?
Envers l’État et les territoires, nos enjeux sont historiques et stratégiques. La SCET entend participer à la reconstitution d’un grand pôle public d’aménagement et d’ingénierie territoriale au service de collectivités de toute taille, du bourg-centre à la métropole. Celles-là même qui, au cours des 25 dernières années, ont vu l’Etat réduire considérablement les moyens d’intervention qu’il avait antérieurement mis à leur disposition. En un sens, c’est la même volonté qui a animé le gouvernement dans son appui résolu à la création de la Banque des Territoires et de l’ANCT.
Car tout le monde sait et comprend, qu’avant tout projet, il convient de conduire une réflexion amont et d’élaborer un diagnostic, ce que permet le conseil stratégique. Il est aussi l’un des moyens de sécurisation des investissements et une assurance indispensable dans des périodes de forte contraction des deniers publics.
Au plan managérial, notre enjeu est de nous structurer en tant que cabinet de conseil en stratégie territoriale au sein de la sphère publique et d’évoluer selon les normes de l’économie concurrentielle et de la commande publique, tout en gardant au cœur de notre promesse l’impératif de l’intérêt général.
Vous-êtes effectivement une société privée fonctionnant selon la commande publique mais au sein de la Banque des Territoires. Pourquoi ? …lire la suite…
Immobilier : la reprise va-t-elle se concrétiser ? @Seloger
Source : Se loger

Bien qu’il soit vigoureux, le rebond de la demande n’en reste pas moins insuffisant pour permettre au marché de l’immobilier hexagonal de retrouver son niveau d’activité pré-Covid. Boostés par une offre qui se recroqueville et des prêts immobiliers toujours plus difficiles à obtenir, les prix des logements continuent d’augmenter…
Circulaire du ministère du Logement liée à la fin de l’état d’urgence sanitaire @Abbe_Pierre
Source : Fondation Abbé Pierre

L’édito du 15 juillet – FONDATION ABBÉ PIERRE POUR LE LOGEMENT DES DÉFAVORISÉS
Chers Amis,
Vous le savez, le 10 juillet a marqué la fin de l’état d’urgence sanitaire et avec lui, la fin du dispositif temporaire de mise à l’abri des personnes sans domicile et la reprise des expulsions locatives.
Quelques jours avant cette date butoir, une circulaire du ministère du Logement précisait que « les places exceptionnelles ouvertes pendant la période hivernale et la crise sanitaire devront être maintenues tant que des solutions alternatives ne seront pas trouvées » ; les remises à la rue sans solution de logement ou d’hébergement ne devraient donc, en théorie, pas avoir lieu.
Pour la Fondation, cette circulaire va dans le bon sens, mais nous sommes particulièrement inquiets car depuis quelques jours, dans certaines villes, des places d’hôtels ont commencé à fermer sans anticipation suffisante pour proposer des alternatives. De même des personnes vivant en squats ou en bidonvilles ont été menacées d’expulsion, alors même que de bonnes décisions avaient été prises pendant la crise sanitaire. Accès à l’eau, accès à la santé, à l’éducation : la puissance publique avait en effet pris des mesures améliorant les conditions de vie et l’inclusion de nombreuses familles en situation très précaire… et il serait inacceptable et contreproductif que ces efforts ne soient pas reconduits dans la durée.
Dans cette circulaire, le ministre du Logement demande également aux Préfets de ne pas expulser les ménages qui ne disposeraient pas de solution de relogement. Si la Fondation se réjouit d’une telle décision, elle craint cependant qu’elle ne soit pas pleinement appliquée sur tout le territoire et que les moyens budgétaires à disposition des Préfets pour indemniser les propriétaires ne soient pas suffisants, conduisant nombre d’entre eux à expulser malgré les consignes ministérielles. C’est pourquoi la Fondation demande à ce que ce fonds d’indemnisation soit rapidement et significativement augmenté. …lire la suite …