Archives d’Auteur: Alexandra Poloce

Conférence ELAN : la résilience Urbaine durant le SIMI 2019 @salonsimi

     

Astrid Pelletier et ses équipes ont le plaisir de vous convier au stand d’ELAN E09  Niveau 2

Au programme :

Conférence : la résilience Urbaine

table ronde : le Bâtiment Hybride à Economie Positivie

Table ronde : La valeur d’usage biophilique

Pichet / Legendre remportent la consultation pour l’ecoquartier fluvial de L’Ile-Saint-denis – Village des Athlètes @GroupePichet

          Source : Pichet

 

Le site de l’écoquartier fluvial de L’Ile-Saint-Denis, Village des Athlètes, offre au Groupement PICHET LEGENDRE la possibilité d’imaginer, de concevoir et de concrétiser une nouvelle phase d’un projet d’aménagement exemplaire. Baptisé « EMPREINTES », cet espace sera destiné à faire rayonner l’île Saint-Denis pendant les compétitions sportives des Jeux Olympiques de 2024 en accueillant 2500 athlètes, pour ensuite devenir un nouveau lieu de vie avec pour ambition de laisser une trace Durable, Sportive et Solidaire pour les générations à venir.
Amélie Mauresmo est la marraine sportive du groupement.

La « Double-Vie » d’empreintes : du village des athlètes à la vraie vie de quartier

Implanté sur la plus grande des îles de la Seine, au nord de Paris, le projet constituera dans un premier temps le Village des Athlètes et accueillera pendant toute la durée des Jeux Olympiques, 2 500 sportifs et officiels rassemblés autour d’une passion commune : le Sport.
Le Village des Athlètes comprendra :

  • des logements clé-en-main pour les sportifs de haut niveau et officiels,
  • des bureaux pour le Comité National Olympique et Paralympique,
  • des espaces médicaux et de stockage,
  • des bureaux d’informations-conciergerie,
  • des lieux de restauration,
  • des salles dédiées aux réunions ou à la récupération sportive.

D’une surface de plancher de 47 000 m², cet ensemble immobilier mixte réparti sur 15 bâtiments a été pensé pour être reconfiguré après les Jeux en un quartier de vie durable au sein de l’Ecoquartier Fluvial de L’Ile-Saint-Denis.

Empreintes sportives et durables

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Dataviz Cœur de Ville évolue pour mieux répondre aux enjeux des territoires @BanqueDesTerr

    Source : Banque des Territoires

Au premier trimestre 2019, la Banque des Territoires a lancé un service de datavisualisation pour accompagner les villes engagées dans la démarche Action Cœur de Ville et leur donner accès à une représentation graphique et cartographique de leurs données territoriales. Le service s’améliore pour les villes du programme en leur donnant accès à encore plus de données.

La Banque des Territoires a souhaité mettre à disposition gratuitement des villes retenues au titre du programme Action Cœur de Ville un service de datavisualisation permettant la représentation graphique et cartographique des données territoriales dans la perspective des projets de revitalisation.

Un accès public a été lancé début mars et permet de réaliser et d’illustrer un diagnostic territorial, portant sur les aspects socio-démographiques du territoire et sur les différentes thématiques du programme Action Cœur de Ville.

Un accès privé est désormais disponible pour chaque collectivité bénéficiaire du programme Action Cœur de Ville.

Celui-ci permet d’accéder à un espace personnalisé, qui propose  des données inédites et offre ainsi quatre nouvelles fonctionnalités qui enrichissent considérablement ce travail de diagnostic :

  • Se comparer avec d’autres territoires (EPCI, Départements, régionaux et autres villes du programme)
  • Accéder à des indicateurs nouveaux issus de croisements et jeux de données plus approfondis que sur l’espace public
  • Produire certains indicateurs déjà préfigurés grâce à des données que seule la ville a à sa disposition (ex. localisation des espaces verts, taux de vacance commerciale)
  • Suivre les actions du programme Action Cœur de Ville

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Top 5 des villes où un SMIC permet d’acheter le plus de m² @Seloger

     Source : Se loger

Où peut-on acheter 40 m² lorsque l’on est au SMIC ?

Au 1er janvier dernier, le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance – plus connu sous l’acronyme de SMIC – s’établissait à 10,03 € bruts de l’heure, ce qui correspond à un salaire mensuel net de 1 171,34 €. En se basant sur l’analyse des données qu’il recueille, le site d’annonces immobilières SeLoger a mené l’enquête pour identifier les grandes villes françaises dans lesquelles il est possible de devenir propriétaire d’un bien d’une superficie de 40 m² alors que l’on gagne le SMIC. En effet, lorsque vous souscrivez un prêt immobilier, la banque va déterminer votre capacité d’emprunt. Pour cela, elle va le plus souvent prendre soin de vérifier que le montant de vos mensualités ne dépasse pas le tiers de vos revenus. Cette règle dite des « 33 % de taux d’endettement » permet d’éviter qu’un emprunteur ne se mette financièrement en danger en devant rembourser des échéances disproportionnées par rapport à ses rentrées d’argent. Dans le cas d’un(e) Smicard(e), ses mensualités ne devront pas dépasser 386 € par mois. Compte tenu des prix de vente qui ont été relevés par SeLoger dans les plus grandes villes de France, le verdict est le suivant. Lorsque l’on gagne 1 171 € nets par mois, que l’on ne perçoit aucune aide, que l’on souhaite souscrire un prêt immobilier et que l’on dispose d’un apport personnel (10 % du prix de vente, Ndlr), voici où il est possible de s’offrir 40 m² :

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La coloc’ seniors : PATRIMOINE lance Co’coon

 

PATRIMOINE lance Co’coon, un concept de colocation pour des seniors en perte d’autonomie et/ou en situation d’isolement. Grâce à un modèle économique militant, Co’coon favorise le maintien à domicile des seniors, avec un accompagnement social, pour moins de 900 euros par mois.

Une alternative à l’entrée en EHPAD

Co’coon s’adresse à des seniors encore relativement autonomes mais qui, du fait de l’évolution d’un handicap ou de leur vieillissement, ont besoin d’un accompagnement pour préserver leur maintien à domicile.

Quand un senior se retrouve fragilisé physiquement et/ou en situation d’isolement, l’entrée en EHPAD est bien souvent une solution par défaut, une décision prise dans l’urgence suite à un événement tragique (accident domestique, dégradation de l’état de santé, décès du conjoint…).

Malheureusement, cette solution est trop souvent synonyme d’une perte totale d’autonomie pour le senior, qui se voit alors contraint dans son rythme de vie, ses choix d’alimentation, ses relations sociales… C’est un changement de vie qui peut être très brutal, tant pour la personne concernée que pour sa famille.

Co’coon permet une attention et une vigilance mutuelles entre colocataires, couplées à un accompagnement social par une association militante. Chaque logement a un projet de vie propre, construit avec les colocataires en fonction de leurs besoins et de leurs envies. Le partage des tâches ménagères contribue à maintenir le sentiment d’utilité de chacun, tout en impulsant une dynamique de vie collective. Pour autant, le senior conserve son indépendance, son intimité, et le libre choix du rythme de ses journées, de son alimentation, de ses loisirs, de la possession d’un animal de compagnie, etc.

 Un modèle économique militant

« La colocation seniors a le vent en poupe. Mais elle reste encore rare et coûteuse, donc réservée à des publics plutôt aisés. C’est avec ce modèle dominant de la silver economy que PATRIMOINE veut rompre, en proposant une démarche engagée, militante, pour permettre à tous les seniors – et particulièrement aux plus modestes – de vieillir dans la dignité. »

Pascal Barbottin  | Directeur Général de PATRIMOINE

Pour ce faire, la gestion locative et l’animation sont confiées à une association partenaire, choisie pour son engagement social. En ce sens, PATRIMOINE travaille déjà en partenariat avec l’association Habitat & Humanisme.

La mutualisation des coûts permet d’offrir une prestation de qualité (loyer, charges, alimentation et accompagnement social) à des seniors bénéficiant seulement du minimum vieillesse, soit moins de 900 euros par mois.Un montant deux à trois fois moins élevé que celui d’une chambre en EHPAD ; et auquel les colocataires pourront aussi soustraire diverses allocations (APL, forfait d’animation sociale de l’ARS…).

>> Télécharger le communiqué de presse

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