Source : regions-france.org

En présentant la stratégie nationale de déconfinement mardi 28 avril 2020, le Premier ministre a répondu à la plupart des demandes des Régions sur la reprise progressive de la vie économique à partir du 11 mai.

« Le Premier Ministre a fixé un cap clair. Je souhaitais un calendrier, une méthode, et la différenciation. En complément, Edouard Philippe y a ajouté la notion de progressivité. C’est donc un desserrement du confinement qui commence, et la vie va reprendre son cours par étapes. Nous devons maintenant être tous ensemble engagés contre le COVID-19. Tous les Français sont mobilisés, en responsabilité, et vont se battre pour reprendre leurs libertés. La prochaine étape a été fixée au 2 juin, et elle sera majeure», a réagi Renaud Muselier, Président de Régions de France, après le discours d’Edouard Philippe à l’Assemblée nationale.

Les Régions, qui agissent depuis le début de la crise en acteurs publics responsables et agiles, comprennent la prudence du gouvernement sur la mise en œuvre du déconfinement à partir du 11 mai, avec un cadre national et une différenciation selon les Départements.

En cohérence avec leur compétence économique, les Régions apporteront leur pleine contribution à l’adaptation locale du déconfinement pour permettre aux commerces, aux entreprises et aux chantiers de redémarrer dans le respect des gestes barrières.

Les Régions prennent acte de l’engagement de l’Etat sur une offre suffisante de masques et de tests pour le 11 mai. Dans ce cadre, elles tiendront leur rôle pour accompagner l’approvisionnement en masques du tissu économique et tout particulièrement les TPE dans le cadre des centrales d’achat qu’elles ont mises en place.

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Source : Eiffage

Eiffage s’engage sur la maîtrise des risques RSE et la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre à travers son premier rapport climat Eiffage publie son premier rapport climat défini selon le référentiel de la TCFD (Task force on Climate-related Financial Disclosures) qui précise les risques et opportunités financiers liés à la transition énergétique et au changement climatique.

Le Groupe entend s’aligner sur la trajectoire dite de 2°C adoptée par l’Accord de Paris de 2015 ; moyenne limite de réchauffement climatique fixée par la feuille de route de l’Union européenne sur le reporting climat des entreprises.

Conscient des défis à relever pour adopter une croissance durable, Eiffage ambitionne de mesurer les impacts de chacun de ses métiers et d’apporter les solutions pour contenir les dommages environnementaux. Benoît de Ruffray, président-directeur général du Groupe, précise : « nous ne pouvons mener à bien seul la mutation du secteur. Nous devons mobiliser l’intelligence collective pour rendre rapidement standard le bas carbone qui est aujourd’hui encore pionnier. »

Pour ce faire, Eiffage s’est engagé dans une stratégie bas carbone pour limiter son empreinte carbone en interne et être ainsi exemplaire sur ses propres émissions mais aussi pour agir sur les émissions liées à son offre afin d’être acteur de l’économie bas carbone. L’ensemble des axes de cette stratégie sont développés dans le rapport climat.

Ceci permet au Groupe d’envisager pour 2030 une réduction de 33 % de ses émissions de gaz à effet de serre selon le scénario BAP (Business as planned) pour une croissance projetée de 2,4 % par an.

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Source : Citallios

Le 27 avril 2020, Olivier MORLET a rejoint CITALLIOS comme Directeur du développement et devient membre du COMEX. Son arrivée s’inscrit dans la nouvelle feuille de route impulsée par son Directeur général, Maurice SISSOKO. Il aura pour missions le pilotage du développement amont et de la commercialisation des droits à construire des opérations.

Urbaniste de formation (Institut d’Urbanisme de Paris), spécialiste en économie urbaine et immobilière, Olivier Morlet a entamé son parcours professionnel à l’ADEF (association des études foncières-revue études foncières) comme consultant, responsable des études. Il a ensuite rejoint, en 2002, l’AFTRP (Grand Paris Aménagement), successivement comme responsable d’opérations foncières, monteur d’opérations et chef de projets d’aménagement (opérations dans le marché et en PRU).

En 2011, il intègre Icade Promotion Aménagement pour diriger le pôle études et projets et en 2013, prendre la direction du développement. En 2016, il rejoint la direction territoriale résidentiel Ile-de-France, comme directeur de projets. En 2017, il intègre Synergies Urbaines, la nouvelle direction grands projets d’Icade Promotion.

Depuis 2018, il était directeur en charge du développement aménagement chez ADIM Paris Ile-de-France (Vinci Construction France).

in’li lance le deuxième appel à projets d’in’li Lab,

son incubateur dans le domaine du logement

in’li, filiale dédiée au logement intermédiaire du Groupe Action Logement, lance aujourd’hui son deuxième appel à projets auprès des start-up travaillant sur des solutions innovantes pour le logement. Les porteurs de projets lauréats seront hébergés gratuitement dans un espace de co-working au sein du siège de l’entreprise à La Défense.

Cela traduit l’engagement d’inli à soutenir et accélérer l’innovation dans le domaine du logement pour toujours mieux répondre aux besoins de ses locataires, des demandeurs de logement et de ses partenaires dans leur ensemble. Le premier appel à projets a permis d’accueillir 6 start-up durant deux ans depuis juillet 2018. Ces start-up ont notamment développé des solutions sur l’optimisation de la performance énergétique des bâtiments (Kocliko), la signature dématérialisée via la blockchain (Contractchain), l’alarme sans contact (Keepen), l’étude d’une solution de bourse d’échange (Lokalok), la colocation de logements (Colivys) et enfin un nouvel outil de gestion et d’échange entre bailleur et locataires (Syment).

Lancement du second appel à projets d’in’li Lab

Forte de cette première expérience réussie et déterminée à toujours davantage innover, in’li lance un nouvel appel à projets qui s’adresse à toutes les start-up porteuses de projets innovants dans les domaines suivants : immobilier (nouveaux produits et services), relation client, datas, RSE et développement durable, construction (nouveaux modes, équipements ou matériaux) et smart building.

Plusieurs critères permettront au jury de sélectionner les quatre lauréats  : innovation et originalité du concept, bonne connaissance du marché et des besoins des utilisateurs, efficacité opérationnelle, maturité du projet…

Les 4 lauréats connus début juillet

Les start-up peuvent déposer leurs candidatures du 4 mai au 5 juin sur https://platform.younoodle.com/competition/inli

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Découvrez dés à présent le témoignage de Pierre Ruello, Directeur général, Demeter

Extrait de témoignages réalisés avant cette crise et qui seront rassemblés dans le nouveau numéro de la collection réalisée par Arkea Banque E&I « Regards » en cours d’achèvement : en savoir plus sur la démarche : ICI

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Opérateur privé aujourd’hui spécialisé dans l’investissement, Demeter exploite les espaces commerciaux de la toute nouvelle gare d’EuroRennes. Un lieu de vie, d’échanges et de convergence qui a inspiré Pierre Ruello, son directeur général.

Créé en 1985, le groupe Demeter est alors principalement impliqué dans le développement de Panavi, leader européen de la boulangerie surgelée. En 2008, son fondateur René Ruello décide de le céder pour se repositionner sur l’investissement, avec trois cœurs de métier. Deux activités sont peu visibles du grand public, la gestion financière et la gestion immobilière. La troisième, sous l’égide du pôle Hospitality, est centrée sur l’exploitation d’hôtellerie, de restauration et du commerce de proximité, soit une quarantaine d’établissements, notamment au sein de l’espace commercial de la gare de Rennes, pour un chiffre d’affaires de plus de 20 millions d’euros.

« Demeter travaille de façon complètement indépendante et autonome, en excluant les logiques de concept, de licence ou de réseau, explique Pierre Ruello, fils du fondateur. Ce qui offre la liberté d’inventer ou de cultiver l’histoire d’un espace pour mieux l’intégrer dans son environnement. Nous sélectionnons nos projets en fonction de la vision que nous avons du potentiel du lieu, que ce soit un quartier, en bord de mer ou en coeur Bretagne. Parfois, il s’agit d’une simple continuité d’exploitation, parce que l’histoire existe déjà et fonctionne très bien. Parfois c’est l’obligation de le repenser entièrement par une approche thématique ou architecturale originale, en nous adaptant au mieux à la clientèle, à une tendance ou au marché. Notre offre, présente dans différentes villes, est très segmentée : hôtellerie, restauration asiatique, italienne, pub, bar à vin, gastronomique…, et commerces de proximité, petite épicerie, caviste, boulangerie… »

C’est dans ce cadre que Demeter Concessions décide d’investir 20 millions d’euros pour installer dix nouveaux espaces commercialisés dans la toute récente gare de Rennes, entièrement rénovée en vue de l’arrivée de la LGV en juillet 2017, qui place Rennes à 1h25 de Paris.

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