Archives Mensuelles: avril 2020
#Coronavirus : limiter la pollution dans son logement @_RIVP_
Source : RIVP

En cette période de confinement, voici quelques rappels pour rendre son logement sain ! Outre la propreté, la question des polluants est importante pour la santé. Il n’y a pas que les produits chimiques qui peuvent nous polluer au quotidien.
Assurer le renouvellement de l’air dans les logements et les bâtiments, pour évacuer l’air vicié, est capital. Ce simple geste va chasser les polluants présents dans l’air. Dans les pièces les plus humides (cuisine, salles d’eau), cela va également chasser l’humidité et éviter que des moisissures se forment (sur les joints des sanitaires par exemple). Pour compléter l’action, pensez à aérer aussi les couettes de lit, à aspirer les matelas régulièrement, ainsi que les poussières qui se déposent sur les radiateurs. Enfin, évitez de surchauffer votre appartement car, en plus de coûter plus cher, cela n’est pas bon pour la santé.
3F Centre Val de Loire maintient le lien avec ses locataires senior·es pendant le confinement @3F_Officiel @ActionLogement
Source : Groupe 3F

Chaque jour, les équipes du bailleur social 3F Centre Val de Loire appellent des locataires âgé·es de plus de 75 ans isolé·es socialement à cause du confinement. L’objectif : maintenir le lien social et détecter les situations à risque.
- Des appels réguliers à plus de 500 locataires senior·es
Dans un élan de solidarité, les trois chargé·es d’accompagnement social de 3F Centre Val de Loire se sont engagées à appeler les locataires âgé·es de plus 75 ans, afin de maintenir le plus possible le lien social.
En effet, en cette période de crise sanitaire, ces personnes, souvent confinées seules, se retrouvent isolées socialement.
Aujourd’hui, ce sont 520 locataires senior·es qui bénéficient de ce dispositif depuis le 20 mars.
Et en cas de repérage de situations fragiles (difficultés d’accès aux produits de première nécessité, détresse…), les chargé·es d’accompagnement social de 3F Centre Val de Loire peuvent orienter les locataires vers leur centre communal/intercommunal d’action sociale (CCAS/CIAS) ou vers des associations locales.
“Cet appel fût un véritable rayon de soleil et en tant que grand amateur de chocolat, je le comparerais à un bon chocolat noir belge” témoigne un locataire bénéficiaire de cette attention.
“En tant que bailleur social, nous nous devons de veiller sur nos locataires âgé·es et de les accompagner dans cette période difficile”
Julie Chevalier, responsable action sociale chez 3F Centre Val de Loire.
Les organismes Hlm se mobilisent face à cette crise sanitaire #Covid_19 #Coronavirus @UnionHLM
Source : Union Sociale pour l’Habitat

Pour faire face à la crise sanitaire Covid-19 et s’adapter aux mesures sanitaires et de confinement, les organismes Hlm sont au plus près du quotidien des locataires du parc social. A travers différents témoignages vidéo, les organismes nous font part de leurs initiatives et actions au service des habitants, de leurs salariés mais également des personnels de proximité.
Dans cette période si particulière, les organismes #Hlm renforcent leur accompagnement social, avec des contacts permanents auprès des #locataires les plus fragiles, les plus isolés et des solutions d’accompagnement adaptées.
En interne, de nouvelles organisations sont mises en place avec des salariés en télétravail, avec des personnels sur le terrain à accompagner et protéger, des prestataires qui eux-mêmes se réorganisent…
De nombreux organismes Hlm ont accepté de se prêter à l’exercice de l’interview vidéo, dans un temps record et des conditions d’enregistrement très particulières, pour témoigner de leurs initiatives : Alpes Isère Habitat, Erilia, Grand Delta Habitat, Immobilière 3F, l’Opac de l’Oise, Paris Habitat, Seine-Saint-Denis habitat, SIP Amiens Somme Picardie et SHLMR. Nous les en remercions vivement.
Quelle place pour le logement social dans une relance du secteur du bâtiment ? @UnionHLM
Source : Union Sociale pour l’Habitat

La « relance » n’est pas une question théorique d’économistes de laboratoire : une reprise en V ? U ? L ? W ? elle sera surtout le résultat de ce que les acteurs économiques, secteur par secteur seront en mesure d’anticiper, d’organiser.
Il ne s’agit pas de traiter intellectuellement la problématique de la demande ou de l’offre mais bien de mettre en regard opérationnellement l’une ET l’autre, à court, moyen et long terme.
Le secteur du bâtiment peut en être une parfaite illustration. Voire un secteur exemplaire, facteur d’entrainement. Le secteur du bâtiment est en effet un secteur économique important, pourvoyeur de nombreux emplois, de nombreuses activités induites, mobilisant de nombreuses entreprises qui irriguent l’ensemble du territoire. Et, au-delà de l’expression consacrée « quand le bâtiment va tout va » ou plus exactement selon les vrais propos de Martin Nadaud « lorsque le bâtiment va, tout profite de son activité », l’activité du secteur est aussi un symbole de mobilisation, de dynamisme, visible par tout un chacun. Les chantiers, c’est la vie économique en images. C’est aussi une réponse à un besoin fondamental de la population : avoir un toit, vivre décemment.
La reprise du secteur du logement ne se décrète pas, elle doit s’organiser entre les acteurs : donneurs d’ordre, entreprises, fournisseurs avec l’appui des pouvoirs publics nationaux et locaux. Des cadres nationaux peuvent être dégagés, l’important sera de les faire naître et vivre au plus près du terrain.
Les bailleurs sociaux mettent à disposition des logements pour les personnels soignants et les personnes dans le besoin @AORIF_
Source : AORIF

Le nombre de victimes de violences conjugales ayant fortement augmenté pendant la phase de confinement, les organismes de logements sociaux se tiennent prêts à accueillir les victimes, ou à exclure les conjoints violents hors du ménage en danger, dans des logements qu’ils mettent à disposition (voir cette dépêche AEF – accès réservé aux abonnés). RIVP, Paris Habitat, Elogie Siempse sont engagés dans cette démarche. Plaine Commune Habitat s’est aussi engagé dans la démarche avec l’association SOS Femme 93 qui accompagne les femmes victimes pendant la période du confinement. Les logements n’étant pas tous meublés, l’organisme a fait appel à des entreprises d’ameublement et d’électroménager pour répondre à l’urgence. L’organisme Adoma a aussi mis à disposition “des logements vacants en résidences sociales” pour les victimes de violence, mais aussi pour les soignants ainsi que les salariés pour lesquels le télétravail n’est pas possible.
Les personnes sans domicile fixe et les migrants font aussi partie des personnes les plus vulnérables pendant cette période. Le groupe Gambetta a décidé de maintenir une résidence hôtelière ouverte en renonçant à en percevoir les loyers pour une période initiale de 2 mois. L’association Fac Habitat, qui gère la résidence, peut ainsi loger environ 300 personnes, migrants ou sans domicile fixe. L’organisme Seqens a sollicité sa filiale Seqens Solidarités pour mobiliser un ex–Ehpad afin de venir en aide aux personnes sans domicile fixe ou logées dans des structures d’hébergement d’urgencetouchées par le Covid-19. Avec la mobilisation des services de l’Etat, de la commune et de l’association Aurore, 48 personnes bénéficieront d’une prise en charge spécifique.