Archives du 21 novembre 2019

Rénovation urbaine : 8 milliards d’€ à disposition des collectivités et des bailleurs @AnruOfficiel

   Source :  ANRU

La dynamique intense d’examen et de validation des projets de renouvellement urbain s’est poursuivie au mois d’octobre avec 28 quartiers supplémentaires qui viennent s’ajouter à la liste des territoires ayant vu les projets validés par l’ANRU et ses partenaires.

Renouvellement Urbain (NPNRU), 329 ont ainsi déjà vu leur projet de transformation examiné et validé. Soit autant de territoires sur lesquels les chantiers sont engagés ou sont sur le point de l’être. Pour engager les chantiers de transformation de ces territoires, l’ANRU a mis plus de 8 milliards d’euros à disposition des collectivités et des bailleurs. Ces concours financiers déjà validés vont permettre la réalisation de projets estimés à près de 28 milliards d’euros tous financeurs confondus.

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Politiques du logement: faut-il donner plus de pouvoirs aux maires ? @fpi_fr @A_FrancoisCuxac

    Source : FPI

Maires et promoteurs : pour un partenariat gagnant-gagnant au service des habitants

De toutes les politiques publiques, celle du logement est probablement celle dans laquelle la décentralisation est la plus poussée, et la plus effective, ce qui est cohérent avec le fait que les mieux à même de connaître un territoire et de le faire sont évidemment ceux qui l’habitent. Dans tous les autres domaines de compétences, les moyens des élus, qu’ils soient juridiques ou financiers, sont encadrés, contrôlés, régulés. Mais dans le logement, les maires ont gardé cet attribut essentiel de la souveraineté locale qu’est le permis de construire, qui décline un plan local d’urbanisme sur lequel ils ont aussi largement la main.

Le fait que la définition de l’usage des sols soit communale ou intercommunale, en définitive, importe peu tant qu’elle reste locale. Pour autant, il n’est pas illégitime de réfléchir sur les conditions dans lesquelles cette compétence s’exerce, à deux égards :

  • Les opérateurs privés sont directement touchés par des formes de surenchères sur la réglementation nationale de la part des collectivités (dans les PLU, les chartes, les cahiers des charges des aménageurs etc.) en termes de choix de matériaux, de stationnements, de performance thermique, de mixité, d’accessibilité, de réversibilité ou de verdissement. Il faut que les élus soient conscients que ces surenchères nuisent aux prix de sortie des logements. Une meilleure concertation des acteurs en amont limiterait sans doute des excès préjudiciables, in fine, pour les ménages.
  • Décentraliser ne signifie pas que l’Etat renonce à toute régulation. Mais pour construire un équilibre différent de la décentralisation de la politique du logement, garant d’une dynamique de construction mieux acceptée, deux écueils doivent être évités :
  1. Pas de solutions uniformes, pour toutes les communes : chaque territoire a son histoire, son identité, sa dynamique, il faut savoir en tenir compte ;
  2. Pas de solutions uniquement contraignantes (obligations de faire, transferts de compétences à l’Etat ou à l’intercommunalité, etc.) sans accompagnement incitatif (aide aux maires bâtisseurs-densificateurs alimentée par la TVA immobilière ou par les DMTO, soutiens en ingénierie etc.).

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 spirit nomme Rodolphe L’Hotellier à la tête de sa nouvelle direction des grands projets @Spirit_IE

             Source : SPIRIT

Le groupe Spirit confirme ses ambitions en matière de développement avec la création de la direction des grands projets, pilotée par Rodolphe L’Hotellier en qualité de directeur grands projets mixtes et gérés.

Quatre ans après la création de la direction des partenariats, qui aura généré sur cette période 400 M€ de volume d’activité, la direction des grands projets permet au groupe Spirit de démultiplier sa capacité d’intervention en conjuguant les expertises en matière d’immobilier d’entreprise et d’immobilier résidentiel.

La stratégie de cette nouvelle entité s’illustre d’ores et déjà par le positionnement du groupe Spirit sur deux projets mixtes d’envergure, réalisés en partenariat :
• l’un à Nanterre, devant développer à terme 15 000 m² de logements/bureaux/résidence gérée
• l’autre au Havre, et devant développer 17 000 m² comprenant un immeuble de bureaux et deux résidences gérées (tourisme et étudiante).

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La Rentrée des Promoteurs by Izimmo en vidéo ! @IZIMMO_

200 promoteurs et institutionnels étaients présents à cette 3e édition de la « Rentrée des promoteurs by Izimmo »  qui s’est tenue le 18 septembre au Manoir du Paris Country Club.

 

 

L’habitat intergénérationnel vu par CDC Habitat @CDC_Habitat

    Source : CDC Habitat

Depuis plusieurs années, CDC Habitat mène une politique proactive vis-à-vis de la frange la plus âgée de la population, en adaptant son parc et en développant des produits spécifiques pour ces publics – des résidences seniors aux résidences intergénérationnelles. Un engagement à la hauteur du défi démographique à venir.

Un phénomène en accélération

Comment accompagner un phénomène démographique en pleine croissance, en l’occurrence le vieillissement de la population ? En anticipant au maximum et en ayant à cœur d’apporter des réponses réellement adaptées au quotidien des seniors. C’est en tout cas de cette manière que CDC Habitat a choisi de se saisir de cette question qui traverse l’ensemble de la société française puisque l’INSEE estime qu’en 2035, 31 % de la population aura plus de
60 ans – et même plus de 75 ans pour 13,6 % d’entre elle.

« Aujourd’hui, notre parc francilien compte 18 % de locataires entre 60 et 74 ans, et 6 % de
75 ans et plus
 », explique Sophie Monnet, chef de projet marketing chez CDC Habitat. « Ces chiffres sont néanmoins à moduler selon le type de logement puisque l’on compte en moyenne 25 % de seniors dans le parc social, et seulement 13 % dans le parc intermédiaire ».

Des travaux pour mieux vieillir chez soi

CDC Habitat n’a pas attendu que les territoires se saisissent de la question pour mener une politique proactive vis-à-vis de ses locataires les plus âgés. Le groupe est en effet conscient que les Français vieillissent globalement mieux qu’hier, en meilleure santé, et donc avec le souhait de rester le plus longtemps possible chez eux. « Notre démarche est d’encourager au maximum le maintien à domicile dans de bonnes conditions », précise Marc Escargueil, chef de pôle VEFA (Vente en l’état futur d’achèvement) chez Grand Paris Habitat. « Pour cela, nous adaptons nos logements quand un locataire en fait la demande afin notamment de remplacer la baignoire par une douche plus facile à utiliser quand on vieillit ».

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