Bons plans pour obtenir le meilleur taux en crédit immobilier ! @pap_fr
Source : PAP
Le niveau bas des taux immobiliers sont encore d’actualité !
Cependant, des emprunteurs arrivent toujours à trouver un taux encore plus bas que les barèmes moyens. Mais alors, comment faut-il procéder ? Voici quelques conseils et solutions afin que vous puissiez vous aussi trouver encore moins cher.
Taux : trois fois moins chers
L’Observatoire du financement Crédit Logement/CSA confirme le très bas niveau du prix de l’argent. Cet organisme constate, dans une étude parue le 17 avril 2018, que le taux moyen toutes durées confondues s’établit à 1,49% brut en mars 2018, contre 1,47% en février. Rappelons que ce même taux moyen brut toutes durées confondues s’établissait à 1,51% en décembre 2017, ou encore à 2,20% fin 2015. Il dépassait les 3% en 2012 et en 2013… Au plus fort de la crise de 2008, il culminait à 5,35% ! Bref, le coût du crédit a été divisé par trois, voire par quatre en dix ans !
Durée | Moyenne | Minimum | Maximum |
10 ans | 1,20% | 0,78% | 2,25% |
15 ans | 1,50% | 1,05% | 2,56% |
20 ans | 1,70% | 1,20% | 2,87% |
25 ans | 1,90% | 1,50% | 3,12% |
30 ans | 2,75% | 1,70% | 3,45% |
La chasse aux emprunteurs
Si aujourd’hui les taux sont aussi bas, c’est parce que les banques savent bien que le crédit pas cher reste leur seul moyen d’attirer de nouveaux clients. Or elles ont annoncé des objectifs commerciaux très élevés pour 2018. Et depuis le début de l’année, elles font face à un marché plus que mollasson. Au premier trimestre 2018, le nombre de prêts accordés plonge de 16,9% par rapport à la même période de 2017 confirme l’étude de l’Observatoire du financement CSA/Crédit Logement.
Compenser la baisse du marché
Au final, les établissements financiers doivent combler un retard de production de prêts de l’ordre de 20% au premier trimestre 2018 d’après les estimations d’Empruntis. Et Cécile Roquelaure, directrice de la communication de ce courtier, d’ajouter : « pour les banques, cela est d’autant plus nécessaire que le recentrage des aides à l’accession (tour de vis sur le PTZ, quasi-suppression de l’APL Accession NDLR) mais aussi l’évolution des prix (hausse de 4% sur un an d’après l’Indice Notaires-Insee NDLR) se font sentir aujourd’hui sur le marché et viennent amplifier l’effet manque d’offre ».
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Publié le 27 avril 2018, dans Actualités. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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