Et si demain, les chantiers du secteur BTP étaient pilotés directement par la pensée ? @Bouygues_C

Source : Blog Bouygues Construction

Contrôler son smartphone par la pensée ; piloter une voiture, envoyer un message ou publier une photo en ligne sans faire aucun mouvement : ces pratiques dignes d’un ouvrage de science-fiction seraient-elles en passe de devenir réalité ? Disposerons-nous demain d’alternatives au corps pour échanger avec le monde extérieur ? C’est ce dont rêvent les géants du numérique qui se sont lancés avec ardeur dans le champ des interfaces cerveau-machine (ICM).

L’interface cerveau-machine, ou Brain Computer Interface en anglais, désigne un système de liaison directe entre un cerveau et un dispositif électronique (ordinateur, exosquelette, etc.), permettant à un individu d’effectuer des tâches sans passer par l’action des nerfs périphériques et des muscles.

Le principe ? Récupérer les informations électriques envoyées par les neurones dans des zones précises du cerveau par le biais de micro-électrodes et de capteurs numériques capables de lire les signaux pour les convertir en vue de permettre leur traitement final par une machine.

Les interfaces cerveau-machine pourraient-ils se mettre au service du secteur BTP ?

Un jour, les interfaces cerveau-machine pourraient-ils se mettre au service du secteur BTP ? Contrôler des appareils sans faire de mouvement ou par la simple pensée pourrait-il contribuer à sécuriser ou à optimiser les chantiers ? Le secteur explore aujourd’hui le champ des interfaces hommes-machine via les exosquelettes, ces solutions de cobotique capables de porter assistance aux opérateurs pour les efforts les plus pénibles. Et qui fonctionnent à l’aide de capteurs permettant de détecter l’intention de l’utilisateur et d’amplifier son geste pour démultiplier sa force par exemple. Des solutions d’autant plus complexes que le contrôle du mouvement est partagé entre  les capteurs décodant l’intention motrice de l’utilisateur et l’utilisateur qui possède des capacités motrices. Et si les interfaces cerveau-machine offraient, demain, des perspectives de progrès ?

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Publié le 24 janvier 2020, dans Actualités. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.

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